- QUAND EST-CE, subst. masc.,
* Dans l'article "QUAND,, adv. et conj."
QUAND, adv. et conj.
I. − Adv. interr. interrogeant sur le moment (passé, présent ou à venir) ou la période (heure, jour, date, époque...) où se situe une action ou un état.
A. − [Dans l'interr. dir.] À quel moment? En quel temps?
1. [Avec invers. du suj. pronom.] Quand la jeune fille lui apparut-elle? (Barrès, Barbares, 1888, p. 87).Quand vous verrai-je? murmura-t-il, très bas (Huysmans, Là-bas, t. 2, 1891, p. 37).Quand revient-elle, ton Américaine? (Bourdet, Sexe faible, 1931, i, p. 257).
− En partic. [Avec le prés., le fut. ou le fut. proche, dans une question marquant l'impatience, la colère...] Quand donc...; quand enfin allez-vous cesser de...? Il soupira au dedans de lui-même: − Quand tomberont les écailles des yeux du cardinal-archevêque, afin qu'il voie l'indignité de ce prêtre? (A. France, Orme, 1897, p. 14).V. donc II A 1 a ex. de Apollinaire.
− [Dans une question rhét.] Quand donc fut-elle jamais plus florissante? (Villiers de l'I.-A., Contes cruels, 1883, p. 85).
− En empl. ell. Quand? Maintenant (Malraux, Cond. hum., 1933, p. 203).
Rem. 1. Fam., dans la lang. orale, en fin de phrase, sans invers. du suj.: La réception serait quand? (Druon, Gdes fam., t. 2, 1948, p. 27). 2. Quand peut se rapporter au verbe de la complét. tout en figurant dans la princ.: Quand pensez-vous qu'il viendra? Quand voulez-vous que je vienne? (Peyré, Matterhorn, 1939, p. 68). Il peut de même porter sur l'inf. et non sur le verbe conjugué: Quand pensez-vous venir?
− [Suivi d'un inf. délibératif] V. comment ex. 7.
2. [Renforcé par est-ce que (sans invers. du suj.), surtout dans la lang. orale] V. est-ce que B 1 c.
− Pop. ou région.
♦ (notamment Anjou, Normandie, Canada). Quand c'est que ...? [Les fainéants voyagent gratis]. Voir un roi, hein? Quand c'est qui paye sa place, quand, allez? (Musette, Cagayous chauffeur, 1909, p. 8).Quand c'est que tu vas à la ville? (Canada1930).
♦ (notamment Ouest et Canada). Quand que ...? Quand qu'i va venir? (Canada 1930).
3. [Précédé de prép. et renforcé ou non par est-ce que] À quand...? De quand...? Depuis quand...? (v. depuis I B 2 c). Jusqu'à quand...? (v. jusque(s) I A 2 c). Pour quand...? Jusqu'à quand va-t-il tenir tant de place? (Colette, Naiss. jour, 1928, p. 8).
− En empl. ell. Boubouroche un peu étonné. Depuis quand? (Courteline, Boubouroche, 1893, i, 2, p. 26).À quand la réconciliation? (Beauvoir, Mandarins, 1954, p. 463).
B. − [Dans l'interr. indir.]
1. [Non précédé de prép.] C'est une lettre d'une dame russe que je ne connais pas, me demandant quand paraîtra le prochain volume de mon journal (Goncourt, Journal, 1896, p. 958).Enfin, Monsieur, on se demande vraiment quand les gouvernements vont se décider à prendre l'attitude énergique (Malraux, Conquér., 1928, p. 11).
− [Suivi d'un inf. délibératif] Conduit au combat, chaque soldat paraissait un chef, chaque chef un soldat; ils savaient quand avancer ou s'arrêter (Chateaubr., Paradis perdu, 1836, p. 23).
− Loc. temp. indéf. Dieu* sait quand. Je ne sais quand. V. espèces B ex.
2. [Précédé de prép.] Je ne puis dire exactement à quand remontent les premières manifestations de cet esprit d'insoumission (Gide, Robert, 1930, p. 1322).Puis-je vous demander depuis quand vous le connaissez? (Billy, Introïbo, 1939, p. 14).
Rem. Empl. subst. masc. V. comment III B ex. de Mérimée.
II. − Adv. rel. temp. [En fonction de rel. dans des tournures d'indétermination, notamment avec des verbes impers., et signifiant « au moment où », « chaque fois que », « à n'importe quel moment où » (fait isolé ou répété)] Quand il le faut; quand bon me semble; quand il vous plaira; quand vous voudrez; quand vous pourrez. Quoique je fusse également décidée à partir de là pour t'aller trouver quand et où tu voudrais (Staël, Lettres div., 1794, p. 612).Perdre la vie est peu de chose et j'aurai ce courage quand il le faudra (Camus, Caligula, 1944, ii, 2, p. 34).
Rem. V. comment I B 2 c rem.
III. − Conj. de sub. temp.
A. − [Valeurs temp.]
1. [Pour marquer la simultanéité avec le fait exprimé par le verbe de la princ.] Au moment où, dans le temps que. Synon. lorsque (lang. écrite).
a) [Le verbe de la sub. marque un intervalle clos (au passé simple, au fut., au prés. hist., à un temps comp. signifiant l'antériorité temp.) ou s'y réfère] Quand il entra dans la chambre conjugale, MmeBombard n'y était pas (Maupass., Contes et nouv., t. 1, Bombard, 1884, p. 974).Quand j'ai vu mes méthodes confirmées par l'expérience, je n'ai eu qu'une hâte (Romains, Knock, 1923, i, p. 5).Quand le docteur arrive enfin, la nuit tombe (Gide, Feuillets d'automne, 1949, p. 1090).
− Loc. adv., au fig., fam. [Signifiant « jamais, dans le futur »] Quand les poules auront des dents (v. dent C 4); quand il fera chaud (v. chaud II A 1 b). Loc. synon. aux calendes* (grecques), à la saint-Glinglin* (fam.), la semaine des quatre jeudis*, trois semaines* après jamais.
b) [Le verbe de la sub. marque, à un temps comp. ou surcomposé, une valeur d'accompli] Dieu a baisé ma main quand j'ai eu fini d'écrire ceci (Montherl., Encore inst. bonh., 1934, p. 690).Je vous le dirai quand je l'aurai vu (Mauriac, Asmodée, 1938, i, 7, p. 51).Quand le juge et tous les acolytes se furent éloignés, ils se rapprochèrent prudemment (Bosco, Mas Théot., 1945, p. 209).
c) [Le verbe de la sub., empl. à l'imp., marque la période passée où se situe l'action de la princ.] Quand j'étais enfant, j'étais extrêmement froussard (Gide, Journal, 1924, p. 800).
Rem. Quand le verbe sub. marque un intervalle limité, il peut s'employer exceptionnellement à l'imp. pour signifier que cet intervalle englobe celui du verbe princ. et pas l'inverse: Maman pleurait de joie quand je lui lisais cette lettre triomphante. Je suis heureux (Id., ibid., 1891, p. 23).
d) [Le verbe de la sub. (au prés. ou à l'imp.) marque un fait habituel ou possède une valeur gnomique] Quand le chat* est parti, les souris dansent. Quand on parle du loup*, on en voit la queue. Quand le vin est tiré, il faut le boire (v. boire1). Quand un homme ressortait, elle se levait, le questionnait des yeux (Zola, Assommoir, 1877, p. 1551).Y a des livres qu'il faut lire à la ville, près du feu, quand la famille est couchée (Goncourt, Journal, 1890, p. 1110).Le petit esclave ne sait pas que lui aussi, quand il dort, il gémit (Montherl., Encore inst. bonh., 1934, p. 693).
− (Là*) où..., c'est quand...
Rem. 1. Quand se coordonne en étant repris par que (v. ou I B 1 quand... ou que...) ou en se répétant. Ce fut un trait de lumière subit, quand l'union se fit entre ces domaines différents, quand l'alizé du nord-est, déjà pratiqué jusqu'aux Canaries, eut porté Colomb jusqu'à la mer des Caraïbes, et quand, d'autre part, eut été vaincu l'obstacle du cap des Tempêtes (Vidal de La Bl., Princ. géogr. hum., 1921, p. 268). Il peut être coordonné à une rel. à valeur temp. Le jour où elle m'avait annoncé le second mariage de ma mère et quand j'avais prononcé de moi-même le nom maudit de Termonde pourquoi m'avait-elle demandé...? (Bourget, A. Cornélis, 1887, p. 143). 2. Quand que, pop. ou région. (Canada). J'irai chez vous, quand qu'on se comprendra mieux (Dionne 1909). J'ai rien vu, puisque je suis seulement entrée à votre service quand que la défunte maîtresse était venue à être si malade (Martin du G., Testam. P. Leleu, 1920, I, p. 1145).
2. [Quand ne dépend pas d'un verbe princ.]
a) [Se rapporte à une indication lex. de temps] Nana croyait retourner à ses débuts, quand sa première robe de soie lui avait causé un si gros plaisir (Zola, Nana, 1880, p. 1291).Nous revoici à l'époque d'Homère quand les déesses présidaient d'un nuage aux batailles des héros (Barrès, Serv. All., 1905, p. 34).
b) [Comme compl. d'une princ. ell.] Quelle émotion quand s'arrêta devant leur grille la voiture de M. de Faverges (Flaub., Bouvard, t. 1, 1880, p. 110).Justement cette amitié rend plus étrange son attitude, quand j'ai prononcé votre nom (Bourget, Lazarine, 1917, p. 26).
− [En partic., dans une prop. compar.] Les voilà qui se penchent tout d'un coup, comme les cigognes quand passe un rat (Giraudoux, Guerre Troie, 1935, i, 4, p. 39).
3. Fam. [Introd. une sorte de compl., dans la lang. parlée relâchée, après des verbes comme remarquer, aimer, détester] Je déteste quand il dit cela. V. aimer ex. 125 et 126.
− [Précédé d'une prép.] Quelques bons mots, quelques répliques heureuses, que je vais mettre de côté pour quand j'irai te voir, ces jours-ci (Villiers de L'I.-A., Corresp., 1884, p. 30).
B. − [Valeurs circ. ou log.]
1. [Quand causal] À partir du moment où, du moment que. Synon. dès* lors que, puisque, là où* (au fig.).Quand j'ai fait ça, je ferai bien le reste! (Péladan, Vice supr., 1884, p. 207):
1. Mais à quoi bon poser à Rachel des questions, quand il savait d'avance que la réponse serait ou un simple silence ou un mensonge ou quelque chose de très pénible pour lui et qui ne décrirait rien?Proust, Guermantes 1, 1920, p. 163.
2. [Quand hyp. ou hypothético-adversatif] Et voyez-vous, c'est beaucoup, quand on peut mettre sur ses cartes: architecte du gouvernement (Zola, Pot-Bouille, 1882, p. 10):
2. Un homme est heureux, Clarisse, quand il dispose pour sa pensée, pour sa vie, d'un aliment toujours présent, d'un thème infatigable en sa fécondité.Audiberti, Quoat, 1946, 1ertabl., p. 29.
− [Avec valeur restr. de renchérissement, suivi de ce n'est pas ou d'une nég.] Je ne quitte jamais la rue Cambon avant huit heures et demie, quand ce n'est pas neuf, et je n'ai qu'une envie, c'est de me coucher! (Bourdet, Sexe faible, 1931, i, p. 258).Je le reconduisais jusqu'au boulevard Raspail − quand ce n'était pas jusqu'à sa porte (Martin du G., Souv. autobiogr., 1955, p. 71).
3. [Quand adversatif constr. avec le prés. ou l'imp., plus rarement avec le cond., en dehors des valeurs régulières d'itération ou d'imperfectivité large et lorsque la sub. suit la princ.] Synon. alors* que, tandis* que, quoique, même* si.Vous m'avez cherché quand je ne vous demandais rien! (Loti, Pêch. Isl., 1883, p. 130):
3. Tu es tout de même très gentil d'être venu me voir quand tu aurais pu aller t'amuser ailleurs.Zola, Bête hum., 1890, p. 47.
− Quand (bien) (même) + cond. V. même III C.
C. − [La valeur subordonnante est estompée]
1. [En sub. inverse, avec valeur d'accélération du récit (quand « de péripétie » ou quand « inverse »), lorsque la temp., postposée, contient le fait principal; la prop. princ. est souvent à l'imp. et la prop. sub. postposée est au passé simple ou au prés. hist.] Et j'étais vraiment très heureux quand soudain, lundi dernier, tout craque (Maupass., Contes et nouv., t. 1, Épingles, 1885, p. 1090).
2. [Avec valeur intensive ou affective]
a) [En phrase indép. exclam.]
− [avec des verbes comme penser, songer, évoquer, pour marquer une valeur affective de surprise, d'étonnement, d'admiration, etc.] Quand je pense (à)...! Quand je pense (que)...! Quand je pense à tout ce que mes parents ont fait pour essayer de me guérir! (P. Margueritte, Simple histoire, 1895, p. 114 ds Sand. t. 2 1965, § 179).V. penser II B 1 a ex. de Jarry.
− [avec des verbes comme dire, raconter, pour justifier une assertion] Quand je vous (le) disais (que)...! Je vous le disais bien (que)...! Là! quand je vous disais qu'il ne lui manquait plus qu'une bonne petite femme (A. Daudet, Fromont jeune, 1874, p. 53).
b) Fam. [Dans la lang. parlée, en phrase ell. indép., pour marquer l'impatience, la colère, l'ordre de cesser qqc.] Quand vous aurez fini de bavarder, fainéants! cria la rude voix de Maheu (Zola, Germinal, 1885, p. 53).
c) [Dans une phrase ell. de la lang. parlée que le loc. laisse à l'interlocuteur le soin de compléter] Je n'ai pas peur d'eux, moi. Quand on n'a rien à se reprocher (Romains, Le Crime de Quinette, 1932, p. 77 ds Sand., loc. cit.).
− [En interr. ell.] Mais, quand la pendule s'arrêtait? (Pesquidoux, Livre raison, 1932, p. 23).
3. [En tête de phrase, dans la lang. littér., journalistique, publicitaire, dans des titres de chapitres, d'articles, de romans, de films, pour annoncer le thème qui va être développé; senti comme adv. rel. (à rapprocher de où, adv. rel.)] Quand la mer se retire (roman d'Armand Lanoux); Quand passent les cigognes (film soviétique).
IV. − [Dans des loc. adv. ou prép.]
A. − Loc. adv. N'importe quand (v. importer I C 3); quand même (v. même III C).
B. − Vx ou région. (notamment Anjou et Poitou)
1. Loc. prép. Quand (et), quand et quand (suivi gén. d'un nom de pers. ou d'un pron. pers.). Avec, en même temps que, en compagnie de. [La féodalité] fit du serf attaché à la glèbe un soldat sous la bannière de sa paroisse; on le vendoit encore quand et quand la terre (Chateaubr., Ét. ou Disc. hist., t. 3, 1831, p. 366).Et ton petit air martial Chantait aussi quand les trompettes (Verlaine, Œuvres compl., t. 2, Amour, 1888, p. 93).
2. Loc. adv. Quand et quand. En même temps. Elle n'avait plus personne (...) pour badiner honnêtement quand et quand, en paroles de bonne foi et de bonne humeur (Sand, Fr. le Champi, 1848, p. 22).
REM.
Quand est-ce, subst. masc.,arg. (des typographes et de plusieurs corps de métiers). Tournée de bienvenue offerte par un nouveau à ses collègues. Les nouveaux venus payant leur « quand est-ce », les stations dans les assommoirs (...). Jack ne se mêlait à rien (A. Daudet, Jack, t. 2, 1876, p. 220).
Prononc. et Orth.: [kɑ ̃]. [kɑ ̃t] en liaison lorsque le mot est conj.: quand il est venu [kɑ ̃til-]; autrement pas de liaison: quand irez-vous [kɑ ̃iʀe-] (Fouché Prononc. 1959, pp. 463 et 477). Homon. camp, khan. Att. ds Ac. 1694. Étymol. et Hist. A. Conj. exprimant une relation temp. de concordance, de simultanéité 1. a) 1050 « dans le même temps que » (Alexis, éd. Chr. Storey, 98); b) id. reprise de quant par une expr. temp. en tête de la princ. (ibid., 72); c) 1100 la prop. sub. est constr. en appos. à un compl. circ. de temps (Roland, éd. J. Bédier, 2845); d) ca 1150 élargissement périphrastique de quant par une prop. (Charroi de Nymes, éd. G. de Poerck, 220: quant ce fut chose que tu ëus mengié, ge...); e) 1170-83 reprise de la conj. par le supplétif que (Wace, Rou, éd. A. J. Holden, 965a); f) 1558 quand constr. avec une prép. a quand (Des Périers, Nouvelles récréations, éd. K. Kasprzyk, p. 13); 1628-30 de quand (D'Aubigné, Sa vie a ses enfants, éd. Réaume et Caussade, I, 12); 2. ca 1050 quant à valeur causale « comme, puisque » (Alexis, 150); 3. 1100 quant à valeur adversative « alors que » (Roland, 302 d'apr. Imbs Prop., p. 113); 4. id. empl. complétif de quant « de ce que » (ibid., 1196, ibid.); 5. 1176 quant à valeur conditionnelle « au cas où » (Chrétien de Troyes, Cligès, éd. A. Micha, 997: quant de ma boche le savroit Je cuit que plus vil m'en avroit); 1573 quand mesme + cond. (Jodelle, Didon, éd. Marty-Laveaux, I, 60); 1580 quand bien + cond. (Montaigne, Essais, I, 25, éd. P. Villey et V.-L. Saulnier, 138); 6. loc. a) ca 1240 quant et « avec » (Mort Aymeri de Narbonne, 275 ds T.-L.); b) 1491 quant et quant « en même temps » (Commines, Mém., I, 10, éd. J. Calmette, I, p. 69). B. 1100 adv. interr. (Roland, 528). Du lat. quando à la fois conj. et adv. interr. Fréq. abs. littér.: 99 819. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 129 039, b) 144 346; xxes.: a) 161 829, b) 139 737. Bbg. Antoine (G.). À propos de « quand... » Fr. mod. 1948, t. 16, pp. 269-273. − Borillo (A.). Qq. rem. sur quand connecteur temp. Lang. fr. 1988, n o77, pp. 71-91. − Chetrit (J.). Synt. de la phrase complexe à sub. temp. Paris, 1976, pp. 76-107. − Eyot (Y.). Quand... Fr. mod. 1948, t. 16, p. 108. − Fuchs (C.), Léonard (A.-M.). Vers une théorie des aspects. Paris − La Hague − New York, 1979, pp. 169-174. − Galet (Y.). Les Corrélations verbo-adverbiales au niveau de la phrase complexe en fr. classique. Fr. mod. 1975, t. 43, p. 339, 344. − Imbs Prop. 1956, pp. 33-116. − Jayez (J.). Quand bien même pourtant, pourtant quand même... Cah. Ling. fr. Genève. 1982, n o4, pp. 189-217. − Martin Temps 1971, pp. 309-321. − Métral (J.). À partir d'Agora. Cah. Ling. fr. Genève. 1982, n o4, pp. 221-224. − Moeschler (J.), Spengler (N. de). La Concession ou la réfutation interdite. Cah. Ling. fr. Genève. 1982, n o4, pp. 20-27; Quand même. Cah. Ling. fr. Genève. 1981, n o2, pp. 93-112. − Morel (M.-A.). Ét. sur les moy. gramm. et lex. propres à exprimer une concession en fr. contemp. Thèse, Paris, 1980, pp. 296-298, 468-513, 570-571, 703-708, ... − Olsson (L.). Ét. sur l'emploi des temps ds les prop. introd. par quand et lorsque... Uppsala, 1971, 148 p. − Sundell (L.-G.). Rem. sur quand suivi de l'imp. St. neophilol. 1984, t. 56, pp. 69-84.
FAQs
Quand Est-ce Que expression ? ›
1. [Pour marquer la simultanéité avec le fait exprimé par le verbe de la princ.] Au moment où, dans le temps que.
Quand a définition ? ›En ce qui concerne, pour ce qui est de.
Pourquoi Dit-on Est-ce que ? ›- Est-ce que est la tournure réservée à l'interrogation directe, c'est-à-dire au cas où l'on pose directement une question sans la rapporter, sans la faire dépendre d'un autre verbe, d'un autre terme.
Quelle la nature de quand ? ›Quand est une conjonction qui signifie "lorsque", "au moment où" ou "pendant que". Il peut également s'agir d'un adverbe pour poser une question de temps.
Quel est Qu'est-ce que ? ›Contraction de "que" et "est-ce" visant à introduire une question posée directement. La phrase se terminera systématiquement par un point d'interrogation. Exemple : Qu'est-ce que tu vas faire aujourd'hui ?
Quand Est-il synonymes ? ›à quel moment, à quelle date en parlant d'un évén ...
Quand Est-ce que ou quant Est-ce que ? ›Faut-il écrire « quand » ou « quant » ? Règle : lorsque vous pouvez remplacer par « lorsque », « à quel moment » ou « le moment où » alors il faut écrire « quand » avec un -d. Sinon, il faut écrire « quant » avec un -t, prenant le sens de « en ce qui concerne ».
Quand et quant définition ? ›Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Quelle est la nature de ce ? ›Ce : pronom démonstratif
Lorsque ce est pronom démonstratif, il s'emploie à la place d'un nom commun ou d'un groupe nominal, et occupe une fonction nominale dans la phrase. Il précède généralement un pronom relatif. Exemple : “Ce dont nous parlons est important.” ; “Je ne comprends pas ce que tu me dis.”
Sert à questionner sur le moment d'une action, d'un événement. quand conj. Exprime la simultanéité, la correspondance temporelle ; lorsque.
Quand où à quand ? ›
n. à quel moment, à quelle date en parlant d'un événement attendu. Note : La préposition à est obligatoire dans une phrase sans verbe.
Comment remplacer Qu'est-ce que ? ›Qu'est-ce que tu écoutes ? -> la radio, un CD ,mon baladeur MP3... Elle peut aussi commencer par : à quoi, de quoi, avec quoi ... (rappel : à que, de que ..
Comment poser une question avec est-ce que ? ›Cette question commence par “est-ce que” et se construit ainsi est-ce que + sujet + verbe + complément. ATTENTION Cette forme d'interrogation ne peut pas être employée avec de la négation. Est-ce que tu parles français ? ( Est-ce que tu ne parles pas français?)
Est-ce que tu où es ce que tu ? ›On l'emploie quand on écrit tu es le bienvenu , tu es sûre ? , tu n'es pas obligé , est-ce que tu es disponible ? Quand on inverse l'ordre du sujet et du verbe dans une question, le verbe garde la même orthographe. On ajoute seulement un trait d'union entre les deux mots : on écrit es-tu .
Quel est l'homonyme de quand ? ›Quand, quant et qu'en.
Quand temps ? ›I Quand et lorsque : la simultanéité
On parle de simultanéité quand l'action principale se déroule au même moment qu'une autre action. Quand et lorsque indiquent la simultanéité à condition d'utiliser certains temps grammaticaux.
QUAND -> Introduction d'une question sur une durée/un moment/en rapport avec le temps, ou pour introduire une subordonnée de temps. Exemples : Quand va-t-elle sortir son prochain album ? - Il sait que je dors quand je ne lui réponds plus.
Qu'est-ce que ou Qu'est-ce ? ›Qu'est-ce que est la tournure servant à introduire une question posée directement. La phrase se termine alors par un point d'interrogation. Qu'est-ce qu'il attend de cette rencontre ? Qu'est-ce vous voulez boire ?
Comment savoir écrire se où ce ? ›- On écrit ce quand il s'agit d'un déterminant ou d'un pronom démonstratif (→ idée de désignation). Exemples : Ce crayon m'appartient. ( ...
- On écrit se quand on a affaire à un verbe pronominal. Exemple : Armand se croit tout permis.
C'est très simple: avec "Qu'est-ce qui..." le pronom interrogatif se rapporte à une chose et a la fonction de sujet; avec "Qu'est-ce que..." le pronom interrogatif se rapporte à une chose et a la fonction de COD; avec "Qui est-ce qui..." le pronom interrogatif se rapporte à une personne et a la fonction de sujet; avec ...
Qu'est-ce que t as définition ? ›
Locution verbale - français
(Missouri) Contraction de tu vas, dans son sens de semi-auxiliaire indiquant un futur proche.
Quand peut être un adverbe interrogatif. Il est employé dans les phrases interrogatives. Quand peut également être une conjonction de subordination. Il indique le temps, la simultanéité ou la cause.
Quand c'est un adverbe ? ›L'adverbe est un mot invariable qui précise ou change le sens d'un verbe, d'un adjectif, ou d'un autre adverbe. - Elle court rapidement. -> ("rapidement" précise le sens du verbe "courir").
Comment utiliser Quant à lui ? ›Quant à peut être utilisé en début de phrase ou de proposition pour souligner ou mettre en relief un ou plusieurs mots : quant à cette affaire, nous la traiterons le moment venu ; il peut aussi mettre simplement en relation deux éléments de phrase, avec la valeur de « au sujet de, pour ce qui concerne » : je ne sais ...
Quand et quant exercice ? ›Exemple 1 : Quand tu sortiras, pourras-tu acheter du pain? Exemple 2 : Mes parents arriveront dans la journée; quant à ma sœur, elle sera là demain. Exemple 3: Je ne bois qu'en mangeant.
Quand on écrit cent avec un s ? ›Multiplié, « cent » prend la marque du pluriel, « s », mais il la perd quand il est suivi d'un autre adjectif numéral (« quatre », « douze », « quarante », etc.) : Deux cents personnes sont attendues. Établissez un chèque de cinq cent quarante euros.
Quand au sujet de ? ›La réponse simple. On écrit toujours « quant à » avec un t final, lorsqu'il est suivi de : à, au, aux. Il signifie : en ce qui concerne, pour ce qui est de, au sujet de.
Est-ce qu'on où Est-ce que l'on ? ›Les deux sont corrects. Dans un langage soutenu, on préfèrera que l'on. Si on est suivi d'une voyelle, on préfèrera que l'on : Je viens d'apprendre que l'on avait cambriolé la pharmacie.
Quand a lui synonyme ? ›En ce qui concerne, pour ce qui est de.
Quand est un pronom relatif ? ›"qui", "que", "dont" sont des pronoms relatifs. Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom).
Quand conjonction de coordination ? ›
Les conjonctions de coordination sont : et, ou, ni, mais, car, or, donc. Elles servent à relier deux éléments de fonctions différentes. Je pense que tu peux gagner le match . Quelques conjonctions de subordination : que, puisque, comme, si, quand, lorsque, quoique,....
Pourquoi on utilise les verbes pronominaux ? ›Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
Quand conjonction de temps ? ›Comme | - Il est utilisé pour comparer. - Il peut indiquer le moment. |
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Quand Lorsque | - Conjonction, ce mot n'est pas interrogatif. - Suivi du conditionnel, il est synonyme de "si". - Il est utilisé pour induire une cause = lorsque |
Puisque | -Il a une valeur de subordonnée de cause. |
Quand : Conjonction de Subordination qui exprime généralement le temps et peut se remplacer par " lorsque ". Il te diras quand il viendra. ( Il te dira lorsqu'il viendra. ) Quand : Conjonction de Subordination qui exprime parfois la concession si elle est suivie du conditionnel.
Quand est une préposition ? ›Certaines prépositions peuvent introduire aussi un adjectif complément (quelque chose d'utile) ou un adverbe complément (par derrière). Ne pas confondre les prépositions et les conjonctions ! À, de, etc., sont des prépositions ; quand, lorsque, etc., sont des conjonctions de subordination.
C'est quoi raconte ? ›1. Faire oralement ou par écrit le récit d'événements, d'aventures, réels ou imaginaires : À la veillée, il nous racontait les vieilles légendes du pays. 2. Dire, rapporter que : Tous racontent avoir vu une lumière étrange.
Quand quoi ou comme quoi ? ›L'expression comme quoi était autrefois considérée comme familière dans le sens de « ce qui prouve bien que », « attestant que, disant que », mais elle est admise sans réserve aujourd'hui : La pluie a cessé au milieu de l'après-midi, comme quoi les prévisions météorologiques ne sont pas toujours fiables!
Quand même ça veut dire quoi ? ›adv. Adverbe qui marque l'opposition entre deux choses liées ou entre deux aspects d'une même chose. Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Quels sont les 6 pronoms relatifs ? ›« Qui », « que », « dont » et « où » sont tous des pronoms relatifs. Comment les utiliser ? Qui remplace un nom sujet.
Quelle est là phrase pour retenir les conjonctions de subordination ? ›Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Comment éviter là répétition 1am ? ›
Ne pas répéter !
Pour éviter les répétitions, commencez par supprimer les informations qui sont déjà connues de votre lecteur ou interlocuteur. Reprenons l'exemple ci-dessus. Il s'agit d'une lettre qui parle d'un projet à Toulouse. Indiquer une seule fois le lieu du projet est suffisant.
- Les questions fermées. Ce sont des questions dont la réponse est OUI ou NON. ...
- Les questions ouvertes. La question ouverte sert à obtenir une information nouvelle. ...
- Les questions partielles avec "quel"
Avec est-ce que, on pose des questions fermées. Exemple : Est-ce que vous prenez du vin ? => La réponse est « oui » ou « non ». Avec qu'est-ce que, on pose des questions ouvertes.
Quels sont les deux grands types de questions qui existent ? ›On distingue deux grandes catégories de questions : les questions fermées et les questions ouvertes.
Comment ça s'écrit tu es belle ? ›Est : Le verbe être (es, est). Il peut se conjuguer à l'imparfait : Tu es belle. Tu étais belle.
Est-ce possible ou es ce possible ? ›On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
Comment on écrit ce que ? ›Qu'est-ce que est une expression qui sert à poser une question. Elle s'écrit toujours avec un trait d'union dans est-ce . Dans qu'est-ce que , on trouve le verbe être conjugué à la troisième personne du singulier, son sujet est ce .
Quand avec une phrase ? ›Quand il fait beau, je sors. = Lorsqu'il fait beau, je sors. Quand il est entré, j'ai ri. = Au moment où il est entré, j'ai ri.
Quand qu'en quant ? ›QUAND exprime une date, un moment. On peut généralement le remplacer par LORSQUE. QU'EN est la forme contractée de "QUE EN", qui n'existe pas (il y aurait alors un hiatus sinon). QUANT s'écrit ainsi si on peut le remplacer par EN CE QUI CONCERNE.
Où et ou définition ? ›"Ou" (sans accent) est conjonction de coordination. Il ne faut pas le confondre avec "où" (avec accent) qui est adverbe ou pronom. On écrit toujours "ou" (sans accent) quand il peut être remplacé par "ou bien".
Quand Lorsque ? ›
Quand appartient à tous les niveaux de langue, y compris la langue familière; lorsque est d'un niveau plus soutenu et est le terme à privilégier, la plupart du temps, dans les textes juridiques.
C'est quoi un verbe conditionnel ? › conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
C'est quoi le synonyme de quand ? ›Dès l'instant où, du moment que, comme, attendu que, etc.
Quand Est-il synonymes ? ›à quel moment, à quelle date en parlant d'un évén ...
Quand à présent ? ›Locution adverbiale
Pour le moment, jusqu'à nouvel ordre.
- Est-ce que est la tournure réservée à l'interrogation directe, c'est-à-dire au cas où l'on pose directement une question sans la rapporter, sans la faire dépendre d'un autre verbe, d'un autre terme.
Est-ce ce que ? ›Quand écrit-on « est-ce que » ? On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral.
Est-ce que ce normal ? ›La phrase est-ce normal est une question, dans laquelle l'ordre du sujet ( ce ) et du verbe ( est ) est inversé. Dans une phrase qui ne serait pas sous forme de question, on aurait plutôt c'est normal . Quand on inverse l'ordre du sujet et du verbe dans une question, on ajoute un trait d'union entre ces deux mots.
Qui se sont où ce sont ? ›La forme « ce sont » est composée du pronom démonstratif ce suivi du verbe être conjugué à la 3e personne du pluriel à l'indicatif présent : Ce sont mes enfants. « se sont » est suivi du participe passé du verbe à la forme pronominale : Elles se sont inscrites à la médiathèque.
Quand utiliser tout et tous ? ›
-> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Quelle est la différence entre quand et quant ? ›Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Comment remplacer Qu'est-ce que ? ›Qu'est-ce que tu écoutes ? -> la radio, un CD ,mon baladeur MP3... Elle peut aussi commencer par : à quoi, de quoi, avec quoi ... (rappel : à que, de que ..
Est-ce que exemples ? ›➜ Pour poser une question, on utilise « est-ce que » + sujet + verbe. Exemples : Tu danses. Est-ce que tu danses ?
Qu'est-ce que au lieu de ce que ? ›Fait pour quelqu'un ou quelque chose de se comporter différemment de ce qu'on peut légitimement attendre de lui.
Quelle est la nature de ce ? ›Ce : pronom démonstratif
Lorsque ce est pronom démonstratif, il s'emploie à la place d'un nom commun ou d'un groupe nominal, et occupe une fonction nominale dans la phrase. Il précède généralement un pronom relatif. Exemple : “Ce dont nous parlons est important.” ; “Je ne comprends pas ce que tu me dis.”
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit.
Cette expression instaure une notion de causalité, de cause à effet. Ce qui suit "ce qui fait que" dépend de ce qui le précède. Exemple : Nous n'avons pas fait les courses hier, ce qui fait que nous mangerons les restes ce soir.
Quelle est la fonction de quand ? ›Sert à questionner sur le moment d'une action, d'un événement. quand conj. Exprime la simultanéité, la correspondance temporelle ; lorsque.
Quel est l'homonyme de quand ? ›Quand, quant et qu'en.
Quelle est la classe de mot de quand ? ›
Quand peut être un adverbe interrogatif. Il est employé dans les phrases interrogatives. Quand peut également être une conjonction de subordination. Il indique le temps, la simultanéité ou la cause.
Quand définition Larousse ? ›[L'e muet final s'élide seulement devant il, elle, on, en, un, une.] Indique la concomitance dans le temps, parfois avec une valeur d'opposition : Lorsque vous serez arrivé, envoyez-nous de vos nouvelles.
Comment savoir écrire se où ce ? ›- On écrit ce quand il s'agit d'un déterminant ou d'un pronom démonstratif (→ idée de désignation). Exemples : Ce crayon m'appartient. ( ...
- On écrit se quand on a affaire à un verbe pronominal. Exemple : Armand se croit tout permis.
La conjonction de coordination est un mot invariable qui sert à unir deux mots ou deux groupes de mots en établissant entre eux un lien logique (addition, choix, cause, opposition…). Il n'est pas là, mais il va bientôt arriver. Les conjonctions de coordination sont : mais, ou, et, or, ni, car, soit, voire.
Quelle est la nature de ce ? ›Ce : pronom démonstratif
Lorsque ce est pronom démonstratif, il s'emploie à la place d'un nom commun ou d'un groupe nominal, et occupe une fonction nominale dans la phrase. Il précède généralement un pronom relatif. Exemple : “Ce dont nous parlons est important.” ; “Je ne comprends pas ce que tu me dis.”
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
La locution et ce est toujours précédée d'un signe de ponctuation (virgule, point, tiret) et est généralement suivie d'une virgule : J'assisterai à cette réunion, et ce, malgré mon horaire chargé. Les loyers seront augmentés, et ce, dès le mois prochain.
Qui se sont où ce sont ? ›La forme « ce sont » est composée du pronom démonstratif ce suivi du verbe être conjugué à la 3e personne du pluriel à l'indicatif présent : Ce sont mes enfants. « se sont » est suivi du participe passé du verbe à la forme pronominale : Elles se sont inscrites à la médiathèque.
Quand utiliser tout et tous ? ›-> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Quelle est la phrase pour retenir les conjonctions de subordination ? ›Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Quels sont les adverbes de cause ? ›
Adverbes et conjonction de coordination exprimant la conséquence. Les adverbes et locutions adverbiales "c'est pourquoi", "à cause de cela", "c'est pour cela", "aussi", "ainsi", "par conséquent", "en conséquence", et la conjonction de coordination "donc" introduisent l'expression de la conséquence.
Quelles sont les adverbes de liaison ? ›Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom. Ce sont des questions qu'il faudra résoudre avant ce soir.
Quand est un pronom relatif ? ›"qui", "que", "dont" sont des pronoms relatifs. Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom).
Quand conjonction de coordination ? ›Les conjonctions de coordination sont : et, ou, ni, mais, car, or, donc. Elles servent à relier deux éléments de fonctions différentes. Je pense que tu peux gagner le match . Quelques conjonctions de subordination : que, puisque, comme, si, quand, lorsque, quoique,....
Comment écrire Dit moi ? ›Réponse : On l'écrit "Dis-moi".
C'est quoi le mode d'un verbe ? ›On appelle mode, la manière dont le verbe exprime l'état ou l'action. En français, on distingue deux types de mode : - les modes personnels : ils sont introduits par un pronom personnel, je, tu, il etc. - les modes impersonnels : tous les modes n'ayant pas de pronom personnel : l'infinitif, le participe et le gérondif.
Quelle est la différence entre on et ont ? ›« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.