Je déjeune parfois avec mon collègue d’entreprise Paul et à défaut d’une amitié profonde, nous avons de la sympathie l’un pour l’autre.
Après plusieurs années, nous échangeons sur notre vie. Les enfants, notre situation familiale ou nos passe-temps.
Il connaît un peu ma vie, mes enfants aujourd’hui étudiants et mon divorce. Il sait que je suis divorcé et que je mène une vie sexuelle légère, sans attache, émaillée de nombreuses aventures que je lui raconte volontiers. Mon collègue est marié depuis vingt ans avec la même femme, qu’il aime, qu’il a connue à 20 ans. Ses enfants sont étudiants, lui aussi.
On en vient à parler de sexe. S’ils baisent une à deux fois par semaine, c’est un peu le train-train, toujours en missionnaire. Elle lui refuse la fellation, même si elle apprécie le cunnilingus et pas question d’être prise par derrière alors qu’il en rêve car elle a un très beau cul, de ce qu’il m’en dit. Ils se sont connus jeunes et il me dit que son peu d’expérience et sa retenue naturelle l’empêche de goûter pleinement au sexe.
Il sent qu’il est temps de pimenter leur vie et qu’il commence à lorgner d’autres femmes en les désirant et que cette situation le peine.
Je lui suggère que peut-être que de connaître un autre homme, sans une situation excitante pourrait changer la donne.
Je lui explique que je l’avais fait avec quelques couples croisés en club ou par internet et que cela avait été bénéfique.
Il doute qu’elle puisse accepter cela. Je partage son avis.
Nous n’échangeons plus sur ce sujet pendant quelque temps.
Quelques semaines plus tard, à ma grande surprise, il me dit que lors d’une soirée, il avait évoqué avec son épouse la lassitude sexuelle qu’il éprouvait et qu’il se posait des questions quant à l’avenir de leur couple. Cela l’avait profondément affectée. Elle lui avait concédé qu’elle était prête à changer pour sauver leur belle relation.
Il avait pensé un moment lui proposer les pratiques qu’il souhaitait sur le champ, baissé son pantalon et proposé sa queue, mais il avait été incapable de bander, même avec les efforts de sa femme qui s’était mise à poil. Curieusement, il avait le sentiment qu’elle accepterait cela, mais sous la contrainte, ce qui lui avait coupé toutes ses envies.
Ils en étaient attristés tous les deux et il avait relaté mes expériences. Contre toute attente, à sa grande surprise, elle lui avait dit que cela pouvait être une solution.
Je lui ai donc proposé de m’offrir sa femme, les yeux bandés pour pimenter encore plus la situation, et de la baiser devant lui.
Quelques jours après un rendez-vous est fixé un jeudi soir, ses grands enfants étudiants ne rentrant que le vendredi.
Je sonne à l’entrée de leur appartement, prêt à jouer mon rôle. Mon collègue m’ouvre et me conduit dans leur séjour.
Elle se tient debout face à moi, les yeux bandés, 1,65 m environ. Robe verte à motifs, longue jusqu’à mi-cuisse. Un peu de laisser-aller, quelques kilos en trop, mais des formes agréables, des hanches et une taille marquée. Une bonne poitrine, bonnets C ou D. Blonde avec quelques cheveux gris, elle a un joli visage. Bien sûr, je ne peux voir ses yeux.
Je m’approche d’elle. Sa respiration est rapide. Elle sent ma présence. Je la touche au-dessus de sa robe, je parcours son corps, d’abord sa taille qui est malgré tout marquée malgré ses quelques kilos de trop, puis ses seins. Ils semblent denses malgré leur taille. Elle a une respiration profonde, mélange de malaise et d’excitation. C’est comme ça que je l’interprète. Je commence à bander.
Petite visite sous sa robe que je soulève d’une main, je palpe ses cuisses, jolies, potelées mais fermes. Je la sens frémir, surtout au contact de main sur sa culotte dont je vérifie l’existence.
Elle est toujours debout, passive. Je bande comme un âne. Je suis excité à l’idée de savoir que cette femme se met à ma disposition, son corps est accessible à tous mes désirs, mes fantasmes. Ses réactions, ses sensations amplifient mon excitation.
Mon collègue est lui aussi excité de me voir caresser son épouse, prendre connaissance de son anatomie.
Je dézippe la fermeture de sa robe, fait glisser ses bretelles, la robe glisse à ses pieds.
Elle n’est vraiment pas vilaine, dans sa parure blanche faite de dentelle.
Je suis impatient de la voir à poil. Je m’approche d’elle. Comme pour la prendre dans mes bras, je la serre et dégrafe son soutien-gorge. Je sens son souffle chaud contre mon cou. Je libère ses seins en ôtant son soutien-gorge.
Des seins ronds bien fermes. De jolies aréoles larges d’un rose tirant vers le marron. Ses tétons sont tout dressés.
- — Regarde comment elle est excitée de montrer ses seins à un inconnu !
Je les prends à pleines mains et passe ma langue sur ses tétons. Elle ouvre sa bouche et gémit un peu. Je les aspire et les suce. J’aime bien leur goût légèrement salé.
Je m’accroupis en lui baisant le ventre, la taille jusqu’à sa culotte. Je baise chaque portion de peau que je découvre en baissant lentement sa culotte. Cela provoque chez elle des frissons, un peu de chair de poule, surtout quand ma bouche entre en contact avec l’intérieur de ses cuisses. Je la fais languir en découvrant sa vulve progressivement. Sa touffe blonde (une vraie blonde !) est assez fournie. Je l’évite de ma bouche pour faire naître l’impatience, l’envie.
La voici toute nue devant nous, toujours debout.
Ma première impression est confirmée: un peu ronde, mais des formes agréables. Une bonne poitrine.
- — Elle est plus que baisable. Quels beaux seins. Jolie silhouette et un cul qui me donne des idées.
Je me déshabille complètement, toujours au top question érection. Je prends sa main et la pose sur mon membre. Elle débute une masturbation tandis que je passe un doigt dans sa vulve. Mon collègue a ouvert son pantalon et se branle.
- — Regarde comment elle est excitée, sa chatte est trempée. J’en ai plein les doigts (je lui montre). Son petit bouton est tout dur. Elle a très envie d’une queue qui lui donne du plaisir.
Je pose les mains sur ses épaules et l’incite à s’accroupir. Je présente ma verge sur ses lèvres. Elle hésite un peu avant d’empoigner ma verge.
- — Bien tes petits coups de langue sur mon gland. Continue ! Lèche-moi les couilles. Hum ! C’est bon ! Maintenant suce-moi !
Je pose mes mains sur sa tête et me branle dans sa bouche. Il ne faut pas très longtemps avant que je lâche ma semence. Elle est surprise, tousse un peu et recrache mon sperme dans sa main. Son mari lui apporte une serviette dans laquelle elle s’essuie les mains.
Je la prends par la main et l’accompagne vers le canapé sur lequel elle s’assoit.
- — Pose les pieds sur le canapé ! Écarte les cuisses, salope ! Plus ! que je voie l’intérieur de ta chatte ! Comme ça, c’est bien ! Ouvre-la, écarte les poils ! Regarde comment ta salope a envie de se faire baiser par un autre ! Son minou est tout luisant de mouille ! Elle a envie d’être prise.
Je place ma tête entre ses cuisses, lui lèche les grandes lèvres, les écarte, aspire ses petites lèvres violettes assez développées.
Je tire vers le haut le frein de son clitoris et passe des coups de langue dessus. Elle gémit de plus en plus.
Je passe ma langue successivement de son vestibule à son clitoris. Elle crie presque jusqu’à ce qu’elle jouisse en repoussant ma tête.
Sa jouissance contribue à ce que je rebande totalement.
- — Place-toi en levrette, face à moi. Cambre plus ! Bien, oui, comme ça ! Écarte un peu plus les cuisses, que l’on voie bien ta chatte trempée ! Masturbe-toi ! De quoi as-tu envie ? Dis-le-moi ?
- — De ta queue.
- — Plus fort, que ton mari entende !
- — J’ai envie que tu me baises, que tu me prennes, que tu me possèdes devant lui.
- — Reste comme ça ! Je vais te saillir comme la chienne en chaleur que tu es !
Mon collègue reste bouche-bée d’entendre son épouse totalement désinhibée et offerte à quatre pattes alors qu’il ne l’a jamais prise en levrette.
J’enfile un préservatif et me présente derrière elle. Sa cyprine dégouline le long de ses cuisses tant elle est excitée par la situation, les yeux bandés, offerte de manière indécente, prête à être saillie.
Je recueille sa mouille dans sa fente ouverte et enduit le préservatif.
Je la prends par la taille. Elle frémit. Je la pénètre d’un coup sans aucune difficulté. Elle est trempée et dilatée.
Je la besogne en lui tenant les hanches. Mon collègue s’est approché et se branle furieusement en goûtant le spectacle de ma queue qui coulisse dans son puits d’amour.
- — Oh oui ! Hummm ! Elle est bonne ta queue, défonce-moi ! Vas-y ! Oui !
Je me penche sur elle et lui pétris ses gros seins gonflés.
- — Oui, je viens ! C’est bon !
Je pose ma main sur sa vulve et titille son clitoris en la baisant, collé à son cul. Cette attention lui permet d’atteindre l’orgasme.
Elle jouit à nouveau et repousse ma main de sa chatte. Je me retire d’elle.
Elle s’allonge sur le ventre, anéantie par le plaisir.
Mon collègue s’approche d’elle, la place de côté, relève l’une de ses jambes et la pénètre de côté. Il ne lui faut pas longtemps pour l’inonder de sa semence.
Je repars comme j’étais venu, mystérieux pour elle. Elle ne sait pas que je suis le collègue de son mari.
De fait le lundi, mon collègue m’apprend qu’ils ont refait l’amour le week-end et qu’il a eu le droit à une fellation et qu’il a pu la prendre en levrette comme il en rêvait depuis longtemps.