Revebebe - Une histoire (2023)

Chapitre 1: Regards sur le passé

D’aussi loin que je me souvienne, le début de ma vie me semble d’une grande banalité qui ne mérite pas que l’on s’y attarde. Pour aller au collège, je m’installais régulièrement à côté de mon voisin Sylvain, ce qui me valut une fois les railleries d’un grand, qui se moquait de celle qu’il appelait la petite Sylvette. Fâché de la raillerie, mon ami mit une sévère correction au jaloux et l’obligea à venir faire des excuses à mademoiselle Mireille, mon vrai prénom. Enfants uniques tous les deux, ce souvenir resta très présent dans notre mémoire commune.

Comme souvent nous nous sommes perdus de vue pendant de longues années. Poursuivant des études de lettres classiques qui aboutirent au CAPES et à un emploi d’enseignante dans un établissement public de la région, j’entendais souvent parler de mon ex-petit ami qui avait intégré une prestigieuse école d’ingénieur et qui, d’après ce qui se disait, avait rapidement grimpé les échelons d’une société pétrolière internationale pour devenir responsable d’un groupe de plates-formes de forage. On me disait aussi que sa brillante réussite professionnelle ne l’empêchait pas d’accumuler les conquêtes féminines les plus fascinantes. Ceci ne me choquait pas outre mesure car pendant mes études dans la grande ville universitaire voisine, je ne m’étais pas privée non plus de rencontres amoureuses.

Ses parents disparus, il revint au village pour régler des affaires familiales. Je me souviens encore de la terrasse du café de l’église où je prenais seule un café crème le samedi matin quand il passa sur le trottoir.


  • — Mireille, quelle surprise, cela fait de longues années que nous ne sommes pas vus !
  • — Sylvain, quel plaisir de te revoir ! On m’a tellement parlé de toi et je n’espérais plus te revoir.
  • — Oui, je mène une vie de dingue en passant le plus clair de mon temps sur mes plates-formes, dans les avions ou au siège de ma société à Londres. Est-ce que je peux t’inviter au restaurant ce soir ? Cela me ferait plaisir. Je ne pars que demain soir.
  • — Sans problème. Je me suis installée dans la maison familiale depuis que mes parents sont décédés. Tu dois te souvenir de l’adresse ?

Le soir, je m’étais faite aussi séduisante que possible quand j’entendis la Porsche qui s’arrêtait devant l’entrée. M’installant sur le confortable siège de cuir, je sentis dès le départ que la soirée allait être chaude et je ne fus pas déçue. Le restaurant qu’il avait retenu dans la grande ville était à deux pas de l’hôtel de luxe où il était descendu et je ne me souviens même pas si la question de l’y accompagner fût posée explicitement.

Le lendemain, nous avons du mal à nous quitter. Il me pose des questions sur moi et me parle de lui, de sa vie, en n’esquivant pas ses conquêtes féminines sans fausse pudeur. Nous nous sentons très proches, comme lorsque nous revenions du collège dans le car scolaire. Il me dit qu’il m’a retrouvée et qu’il ne veut plus me quitter maintenant. Il téléphone à son bureau à Londres et m’annonce qu’un billet d’avion m’attend à l’aéroport et me permettra de venir l’y rejoindre le week-end suivant. Je suis subjuguée et j’accepte tout ce qu’il me propose.

C’est pendant ces week-ends qui se reproduisent plusieurs fois que nous nous installons dans une relation qui va vite devenir originale. Je suis flattée qu’il me préfère aux élégantes qu’il me présente parfois. Pourtant il me dit qu’il n’est pas l’homme d’une relation unique, mais il rajoute vite que moi, j’suis « spécial ».

Deux ans après, nous nous sommes installés dans cette nouvelle vie et nous prenons de grandes décisions. D’abord, nous décidons de nous marier officiellement et la cérémonie a lieu dans l’intimité avec pour témoins nos meilleurs amis d’enfance. Je veux continuer mon travail, mais il arrive à me convaincre de passer à mi-temps pour avoir plus de disponibilités. Il vient régulièrement au village pour passer du temps avec moi, mais aussi pour surveiller les travaux d’une grande villa, isolée dans un espace boisé idyllique proche du village. Tout ce que je veux est immédiatement exécuté: multiples chambres et vastes salles de bain, séjour gigantesque avec une grande cheminée, cuisine surdimensionnée et suréquipée avec de grands fourneaux perfectionnés, etc.

Mais nos discussions vont plus loin. Il me dit qu’il veut que notre relation soit durable et solide, mais que nous restions libres chacun de notre côté, car il estime que ses obligations ne lui permettront pas de passer plus d’une semaine par mois dans notre maison commune. Le reste du temps, me dit-il, chacun sera libre, mais avec quelques règles que nous établissons d’un commun accord:


– aucune relation extraconjugale dans notre maison commune ;

– liberté totale, mais aucun des conjoints ne cachera ses aventures à l’autre ;

– discrétion absolue ;

– hygiène irréprochable ;

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– mais surtout, aucun attachement durable.

Je m’amuse de ces règles, n’ayant pas l’intention de mon côté de chercher des aventures. On verra plus tard que je me trompais lourdement.

Installée dans ce calendrier où je vois mon mari une semaine par mois, je reçois beaucoup de collègues et d’amis qui plaisantent en m’appelant la « femme du marin ». Beaucoup me disent que la vie de nombreuses femmes est la même que leur mari soit militaire ou voyageur de commerce. Quand Sylvain passe une semaine chez nous, la part du lion se passe dans la chambre conjugale, mais il fait aussi beaucoup de sport et surtout du vélo, il bricole dans un bel atelier qu’il a fait construire, jardine et passe du temps à discuter avec des artisans locaux pour améliorer notre cadre de vie. Nous nous téléphonons souvent quand il est absent et je me sens comblée.

Chapitre 2: La première tentation

Mon mi-temps me laisse des journées entières libres que j’emploie souvent à faire les magasins dans la grande ville qui se trouve à une trentaine de kilomètres de notre village. J’ai une petite Austin Cooper qui me permet de me déplacer et de me garer facilement. Sylvain a insisté pour que je n’aie aucune contrainte financière d’aucune sorte, car il a encore eu une promotion dans sa société et l’argent est vraiment le cadet de ses soucis.

Longue rue commerçante. Je sors d’un magasin de lingerie avec un petit sac. Il fait beau. Je suis en tailleur beige, veste assortie et talons hauts. Je me sens bien. Je passe devant la vitrine d’une bijouterie. Je regarde les objets exposés, mais le reflet de la glace me renvoie la silhouette d’un beau jeune homme dont le regard semble porter sur la partie charnue de mon arrière-train. Je continue et le manège se poursuit devant plusieurs magasins. Toutes les femmes connaissent ce petit truc qui leur permet d’observer discrètement leurs admirateurs en se servant de l’effet discret des grandes vitres réfléchissantes des magasins. Je veux en avoir le cœur net et j’entre dans un café et m’installe sur la terrasse après avoir commandé une boisson. L’homme passe son chemin et je suis déçue. Reprenant mon sac, je me dirige vers la place du commerce où ma voiture est garée. Au moment où je vais entrer, je vois mon garçon qui arrive vers moi. Amusant. Que va-t-il trouver comme prétexte pour m’aborder ? Un transport ? Il n’y a pas de grève en ce moment. Quoi d’autre ?

En fait, il est beau. Il est même très beau. C’est un étudiant. Il semble hésitant. Il se campe devant moi et, timidement, avec une belle voix, me dit:


  • — Madame, je voudrais juste vous dire que je vous trouve très belle. Je vous souhaite une bonne journée.

Et gauchement, brutalement il tourne les pas et s’éloigne, me laissant un peu interdite. Ne sachant que faire, je démarre et m’apprête à sortir du parking lorsque je l’aperçois sur un trottoir. Sans y réfléchir, j’ouvre la portière du passager et je lui demande si je peux le déposer quelque part.

Arrivée en périphérie. Parking désert devant une résidence. Invitation à monter prendre un thé ou un café dans son petit studio. Grosse ficelle.

Je ne suis pas dupe. Je refuse. Il me regarde avec des yeux suppliants. Je ne vais quand même pas accepter. Ses yeux sont beaux, d’un bleu métallique. Il est timide et touchant. Je pense à la dernière conversation avec Sylvain et je sais que s’il était là il m’aurait encouragée à accepter. Bon, je vais accepter le thé, mais pour le reste on verra. Je monte derrière lui. Son petit studio est au second étage. Il est gauche et intimidé. Je suis assise sur le seul fauteuil. Il met une tasse sur la table de travail et verse l’eau chaude. Il me demande si je veux du lait. Il revient du frigo et maladroitement verse le lait sur ma jupe. Excuses. Panique. Serviette prise dans la salle de bains. Il essuie. Il est à genoux. Ses cheveux blonds sont très souples. J’ai pitié. Je caresse ses cheveux doucement. Toujours à genoux devant moi, il relève la tête et me regarde d’un air de chien battu. Je continue à lui caresser les cheveux. Il pose sa tête sur mes cuisses. Je me lève, enlève ma jupe et vais dans la salle de bains pour la rincer à l’eau claire. Je suis en slip et en bas dim-up. Il vient derrière moi et pendant que je nettoie le vêtement dans le lavabo, il descend mon slip et vient me lécher les fesses. Je me penche et il les écarte pour laisser sa langue aller plus loin. Dans le miroir, je le vois qui baisse son pantalon après avoir pris un préservatif dans la poche, se protège et me met son long mandrin dans la chatte. J’interromps mon travail de nettoyage et je le laisse me besogner. C’est bon. Ses mains viennent ouvrir mon chemisier et malaxer mes seins. Il me répète que je suis belle et qu’il adore les femmes matures. Je ne pense pas avoir basculé dans cette catégorie, mais le rôle de cougar ne me déplaît pas. Il décharge assez vite.

Je me rhabille et lui dis que finalement je boirai le thé sans lait. Il est confus et remonte son pantalon. Je le laisse et le soir je raconte cette aventure au téléphone à mon mari qui semble beaucoup apprécier.

Chapitre 3: La tentatrice

Sylvain avait beaucoup aimé cette histoire, mais il trouvait que la rapidité était frustrante. Il m’encouragea la prochaine fois à prendre mon temps, ce que je fis. Lors de l’une de ses absences de trois semaines, une idée un tant soit peu diabolique me vint à l’esprit.

Me souvenant d’une aventure qui m’était arrivée une dizaine d’années auparavant, je commençais à échafauder un scénario. Je venais à l’époque de commencer à travailler et mon salaire d’enseignante était assez modeste quand je pénétrais dans la boutique d’un antiquaire. Le commerçant était un beau causeur, jeune et bien fait de sa personne. Une belle gravure ancienne me faisant envie, je tentais de marchander une réduction car le prix annoncé était nettement au-delà de mes moyens de l’époque. Jeune et inexpérimentée, je voyais qu’il me draguait un peu et j’espérais jouer de mes charmes pour l’attendrir. Mais finalement, il me dit que le jeudi, il était seul au magasin et que si je voulais passer un petit moment avec lui dans l’arrière-boutique, il me ferait une réduction de 50 %. Choquée par ces propos directs, je quittai le commerce. Je n’étais plus une oie blanche, mais ce marchandage cynique me déplut fortement. Au ton qu’il avait, j’ai d’ailleurs eu l’impression que je n’étais pas la première avec laquelle il tentait sa chance.

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Je me suis d’abord renseignée pour savoir si le magasin existait toujours et un jeudi matin je me présentai dans la boutique. L’homme était toujours là, un peu plus âgé mais très élégant, avec des tempes un peu grisonnantes. Il ne se souvenait évidemment plus de moi car en dix ans j’avais bien changé. Je n’étais plus la jeune fille « en jean et baskets », coiffée à la garçonne mais une bourgeoise en tailleur de marque et talons hauts. Oubliant les dim-up, cette fois-là je portais de vrais bas avec porte-jarretelles. J’étais décidée à prendre l’initiative et à m’amuser. Je commençais un tour de la galerie sous l’œil intéressé du vendeur. L’abondance de miroirs dans la galerie me permettait de voir où portaient ses regards. Cette fois-ci, je feignis d’être intéressée par un tableau d’un peintre inconnu pour moi mais dont il me vanta les qualités. Le prix était à la mesure de la soi-disant renommée de son auteur. Il me montra une seconde œuvre du même peintre, similaire à la première, mais je déclarai être moins intéressée. Je fis plusieurs fois le tour du magasin en revenant à chaque fois devant le fameux premier tableau. Mon scénario marcha au-delà de mes espérances et je passai une excellente journée. Le lendemain soir, j’appelai Sylvain pour lui faire le récit complet de cette journée:


  • — Tu veux que je te raconte ma journée d’hier ?
  • — Au ton de ta voix, tu sembles avoir fait des exploits amoureux. Je me trompe ?
  • — Pas du tout, j’ai suivi tes conseils et je me suis bien amusée.
  • — Alors tu me racontes tout, sans oublier le moindre détail. Je m’installe dans mon fauteuil et je t’écoute sans t’interrompre. Je sens que je vais avoir un reportage coquin.

Je me mets alors à faire le récit à mon mari de ce qui s’était passé, de tout ce qui s’était passé, comme s’il y était, en commençant au point où je feins d’être intéressée par le tableau:


L’antiquaire me regarde sous toutes les coutures et je sens que je l’intéresse. Un client entre à un moment et il lui répond de façon tellement désagréable et négative que l’homme ne reste pas. Il revient vers moi et, décrochant le tableau, l’expose à la lumière pour continuer à m’en vanter les mérites. Je fais semblant d’être très intéressée mais je lui dis que le prix est nettement au-dessus de mes moyens. Il marchande à 20 %, puis, comme je m’y attendais, me dit qu’il pourrait me faire encore un meilleur prix mais sans me donner les conditions. Il m’invite à m’asseoir sur un canapé de style et me met le tableau en évidence pour que je puisse l’observer. Il est devant moi, il tient la peinture à la lumière, mais je vois qu’il m’observe et me déshabille du regard. Sur mon canapé, je croise les jambes et je vois ses yeux qui suivent le mouvement de mes genoux. Je lui permets d’apercevoir furtivement le haut des bas et un morceau de cuisse blanche, barrée par la jarretelle, avant de vivement me rajuster. Comme je lui dis que la toile me plaît mais que mes moyens ne me permettent pas de l’acheter, il devient plus explicite en me répondant qu’il aurait pourtant envie de faire plaisir à une belle femme comme moi car il est incapable de décevoir l’une des plus belles clientes à pénétrer dans sa boutique. On voit qu’il est devenu plus prudent. Je continue à mettre la pression en croisant et décroisant les jambes et visiblement il cherche désespérément une façon de prendre une nouvelle initiative.

Une lueur dans son regard m’annonce sa proposition de regarder le panneau avec une lumière rasante. J’approuve et il m’invite à le suivre dans l’arrière-boutique où il a un projecteur approprié d’après lui. Il installe les objets, ferme la porte, éteint la lumière principale et vient à mes côtés observer le tableau. Il me prend par les épaules pour, me dit-il, me placer dans le meilleur axe pour apprécier. Je sens ses mains qui descendent de ses épaules à ma taille et c’est le moment que je choisis pour regarder ma montre et faire semblant de me souvenir d’un rendez-vous urgent que j’allais manquer. Je sors et je l’entends me dire qu’il s’apprêtait à me faire la plus grande remise jamais faite. Je lui promets de repasser pour en discuter en fin d’après-midi, après mon rendez-vous. Je pense que le piège commence à fonctionner.

Il est presque 17 h quand je reviens et je lui dis d’emblée que je me suis emballée le matin et que finalement malgré mon intérêt je ne vais pas acheter le tableau. Il ne désarme pas et m’invite à repasser voir la toile toujours exposée dans l’arrière-boutique en m’annonçant qu’il veut me faire une dernière offre que je ne pourrai pas refuser.

Devant mon air interrogateur, il cherche ses mots. Je suis une cliente exceptionnelle et s’il fait un geste unique, il est certain que je viendrai à nouveau acheter chez lui. Il me propose de m’offrir le tableau contre une participation minime et symbolique. Devant ma moue, il rajoute immédiatement qu’il n’est pas question d’espèces. Reprenant mon air interrogateur, j’attends ses précisions.

Il commence par me dire qu’il va m’offrir une coupe de champagne et discrètement pousse le verrou d’entrée au magasin. C’est alors qu’il abat ses dernières cartes en me disant que je lui fais faire des folies, mais que si je lui fais un léger strip-tease dans l’arrière-magasin il va m’offrir le tableau. Il se justifie en disant qu’il n’a jamais vu une cliente aussi attirante et que je fais tourner la tête.

Et voilà. L’animal est piégé. Je peux lui porter l’estocade finale. Je fais semblant d’être très surprise. Je lui dis que je veux bien mais à mes conditions. Je resterai en sous-vêtements pendant un quart d’heure et il n’aura absolument pas le droit de me toucher. Long silence de sa part, mais il finit par accepter, et après avoir tiré les rideaux, il sort le champagne et s’installe sur le canapé de l’arrière-boutique en trinquant à la plus belle de ses clientes. Je vide ma coupe puis me lève, et en lui faisant face je dézippe ma jupe, enlève ma veste et déboutonne mon chemisier, gardant mes chaussures à talons, mes bas noirs tenus par le porte-jarretelles et le soutien-gorge pigeonnant, noir, brodé et assorti au reste. Je fais un tour sur moi-même et lui demande si cela lui convient. Timidement, il me demande de faire glisser mon slip et je lui fais remarquer que ceci n’était pas dans nos conventions, mais que, bonne princesse, je vais lui donner ce dernier cadeau. Il est proche de l’apoplexie en fixant ma belle toison brune. Il me supplie de tourner, de me pencher et j’accepte aussi.

Je lui concède un peu plus que le quart d’heure convenu et je commence alors à me rhabiller. Paniqué, il se lève et me supplie de lui en accorder un peu plus en le laissant me caresser. Je lui rappelle nos conventions et continue. Il insiste et c’est alors que je porte l’estocade finale en lui disant que s’il le veut vraiment cela sera à mes conditions et que je le laisserai me caresser s’il m’offre aussi le second tableau mais uniquement lorsque les deux peintures seront emballées et placées dans le coffre de ma voiture garée devant son magasin.

Il me regarde, incrédule, puis, sans rien dire, il part emballer les deux tableaux et je lui donne les clefs de mon véhicule. Lorsqu’il revient, je suis allongée sur le canapé, toujours en sous-vêtements et bien décidée à m’amuser avec lui pour le reste de la soirée.

Il a un regard respectueux lorsqu’il revient et verse une seconde coupe de champagne pour se donner une contenance. Je donne le ton à la soirée en lui intimant l’ordre de se mettre à genoux et de me sucer. Il s’exécute. Je le dirige en lui disant où placer sa langue et il parvient à me donner un premier orgasme. Je lui demande alors de se déshabiller entièrement et de s’allonger sur le canapé, d’un ton qui n’admet pas la réplique. Il doit se dire qu’il est tombé sur une véritable dominatrice, ce qui est entièrement faux d’ailleurs. Je me place en position de soixante-neuf et lui offre une fellation qui semble le calmer.

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Il emballe une verge raide et d’une belle taille dans un préservatif. Je sors mes seins des bonnets du soutien-gorge et je me retourne pour le chevaucher jusqu’à un second orgasme. Pour terminer, je me mets à genoux sur un tapis moelleux qui se trouve à terre et je lui demande de travailler un peu en me faisant une belle levrette qui dure longtemps avant que je le sente décharger par de longs jets dans sa capote.

Une fois rhabillée, il a droit à un baiser bien baveux et je quitte le magasin en le remerciant de ses beaux cadeaux.

  • — Formidable, me dit Sylvain. Tu arrives à me faire bander à distance. Tu es fantastique. Je suis fier et amoureux de ma femme.
  • — Mais tu sais que je me suis bien amusée aussi. Reviens vite car j’ai accroché les deux tableaux dans notre grande chambre et j’ai hâte que tu me fasses jouir en les regardant.

Chapitre 4: Apollon et Neptune

Nous nous installions dans ce rythme assez étrange. Sylvain me racontait parfois certaines de ses rencontres féminines et me rassurait toujours en me disant qu’il ne trouvait jamais une femme qui m’arrive à la cheville. Il ne partait jamais sans me dire qu’il espérait aussi pour moi une belle aventure pendant les trois semaines de son absence. Je n’ai jamais connu le moindre sentiment de culpabilité et j’ai toujours apprécié ma liberté totale dans l’amour et la confiance de mon mari.

L’été arrivait et je voulais avoir une peau bien bronzée lors du retour de Sylvain. Notre village se trouve à trente kilomètres à l’intérieur des terres, mais le littoral de cette région à l’Ouest offre de très nombreuses plages naturistes où je pouvais faire du bronzage intégral. Inutile de dire qu’une femme seule dans ces endroits est assez souvent sollicitée. En général, j’écartais avec dédain les importuns, sachant que si je me décidais à entamer une conversation, je n’avais aucune raison de me priver.

L’opportunité se présenta un jour. J’étais seule sur ce coin de plage un jour de semaine et deux jeunes hommes se baignaient en face de moi. Ils passaient et repassaient dans ce qui semblait être une petite compétition de natation entre ces deux hommes. Je voyais bien qu’ils s’assuraient, à chaque passage, que je les observais. Puis ils disparurent, mais quelques instants plus tard je les vis réapparaître sur la plage avec leurs serviettes en me demandant s’ils pouvaient s’allonger à mes côtés. C’était deux beaux athlètes que j’avais à côté de moi et mentalement je les nommais Apollon pour le blond et Neptune pour le brun. Ils étaient grands tous les deux, bien bronzés et superbement musclés. Neptune avait un torse plus velu et semblait plus viril que son compagnon. Leur conversation n’était pas lourde, mais j’avais envie de m’amuser. Ils étaient moniteurs de natation tous les deux. Je me suis alors inventé un rôle de composition de femme frigide pour les décourager mais au lieu de les décourager, mon mensonge se retourna contre moi car ils commencèrent par m’assurer que scientifiquement aucune femme ne peut se prétendre frigide. J’eus beau protester, je ne fis que provoquer leurs plaisanteries.

Comme Apollon se levait et partait vers un petit tas de coquillages sur le haut de la plage, je ne pouvais pas m’empêcher de remarquer ses belles petites fesses bien fermes et bien bronzées. Quand il revint, il plaça une coquille de pétoncle sur chacun de mes tétons et une coquille Saint-Jacques sur ma toison. Il déclara que je lui rappelais le tableau de la naissance de Vénus de Botticelli, mais la glace était maintenant rompue et je les trouvais plutôt sympas. C’est donc tout naturellement que j’ai accepté l’offre d’Apollon d’aller me baigner. Évidemment, ce n’était qu’un prétexte et il commença bientôt à m’embrasser avec passion.

Je me sentais bien, le corps à moitié dans l’eau, et ses doigts commencèrent assez rapidement à jouer avec mon clito déjà bien dressé. Je saisis sa verge fermement et, comme nous étions toujours seuls sur ce petit bout de plage, je me laissais aller dans les bras de mon bel éphèbe, oubliant tout le reste. Je ne fus pas surprise de voir le second jeune homme descendre vers nous, mais je remarquais son sexe fin et bien dressé quand il rentra dans l’eau. Son ami m’embrassait profondément et me branlait ce qui fait que je ne me suis même pas étonnée de voir le beau Neptune enfiler une capote en venant nous rejoindre et en se plaçant derrière moi.

J’étais dans un autre monde entre mes deux chevaliers servants qui exploraient mon corps de toutes leurs mains, le buste au soleil et le reste du corps dans l’eau. J’étais parfaitement détendue et en confiance. Je sentis bien la longue tige de Neptune s’introduire par-derrière entre mes cuisses. Excitée, j’acceptais d’avance de laisser son sexe entrer en moi et j’anticipais même cette action de sa part. Mais je fus surprise quand, après avoir promené son dard dans mon intimité, il plaça brusquement le bout de sa lance bien raide sur mon anus et d’un mouvement sec et violent me pénétra dans l’entrée arrière où je ne l’attendais pas. Je n’ai rien contre une petite sodomie si elle est bien préparée, mais là je fus surprise de le voir rentrer profondément et avec facilité dans mon fondement, d’autant plus que nous étions dans l’eau. Je pense que le sentiment de bien-être dans lequel je me trouvais dans les bras de son mi, mes sphincters devaient être totalement relâchés, ce qui lui a certainement facilité cette introduction.

Sentant le phallus qui m’explorait en cadence, ma main redoublait d’efforts pour branler son ami, et ils vinrent tous les deux en même temps. Je sentis les spasmes de la verge dans mon anus pendant que du foutre se répandait dans ma main, se mélangeant avec l’écume des petites vagues de la mer calme.

Inutile de dire que Sylvain se régala encore du récit de mes exploits nautiques et m’encouragea à continuer mes petites aventures.

Chapitre 5: Une cougar en action

Les précédentes aventures m’avaient donné beaucoup de confiance et plusieurs mois après, lors d’une nouvelle période d’absence de mon mari, je voulus connaître des sensations fortes.

Bien reposée un jour, je me rends dans la grande ville que je connais bien et je m’installe dans un hôtel bien confortable du centre. Jouant la femme mature et libre, bien habillée dans une veste et un tailleur de marque, je me rends en soirée dans un dancing dont je me souvenais depuis mes années d’étudiante. Il y a beaucoup de monde, principalement des jeunes. J’ai décidé de m’amuser. Je me lance dans un rock endiablé et bientôt j’ai quelques danseurs autour de moi. L’un d’eux m’invite au comptoir. Je suis assise sur un tabouret et il est près de moi. Élégant trentenaire, il ne tarde pas à me raconter sa vie d’homme marié malheureux en ménage qui vient de quitter son domicile après une forte dispute avec son épouse. Tout en parlant, il pose une main sur mon genou. Je ne fais rien pour l’encourager ou le dissuader. Il continue à se plaindre de ses ennuis conjugaux en faisant discrètement et progressivement grimper la main baladeuse sous ma jupe. Je laisse faire, mais lorsqu’il arrive à caresser la chair au-dessus du bas, je lui dis que je vais retourner danser.

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J’ai envie de m’amuser ce soir. J’ai envie de jouer l’allumeuse. Le trentenaire revient me rejoindre sur la piste, mais il y a aussi un homme plus jeune qui était déjà parmi les danseurs précédents. Brutalement, je m’arrête et me dirige vers les toilettes. En sortant, je me remaquille et remarque dans le couloir le jeune homme qui semble m’attendre. Faisant semblant de ne pas le voir, je rattache mon bas par-derrière au porte-jarretelles en soulevant largement ma jupe. Il a évidemment tout vu et je le retrouve, avec plusieurs autres, sur la piste pour continuer à danser. Il semble ne plus vouloir me lâcher et, prenant prétexte de la chaleur, il me propose de sortir dans la cour du dancing pour prendre l’air. À sa surprise, j’accepte et je le suis. Il m’apprend qu’il est musicien et qu’il lui arrive de composer quelques morceaux, en me proposant d’en écouter un échantillon dans sa voiture. Les hommes ont une imagination débordante quand il s’agit d’accrocher une femelle. Il m’ouvre la porte du passager et je m’assois tout en laissant la porte ouverte, mais en faisant remonter ma jupe au niveau du haut de mes bas. Il met un morceau de saxophone de sa composition, en profitant du mouvement qu’il fait pour insérer le DVD pour poser lui aussi sa main sur mon genou. Je le laisse avancer jusqu’aux limites du sanctuaire en écoutant religieusement le morceau du musicien amateur. Dès la fin, je glisse hors de la voiture et lui dit que je préfère rentrer danser encore un peu. Pour le provoquer encore plus, je rattache à nouveau mon bas devant lui. J’adore ce petit truc d’allumeuse que j’utilise souvent discrètement.

Je ne sais pas où je vais, mais je continue à bien m’amuser. Je ne sais pas exactement ce que je cherche. J’attends surtout de trouver un partenaire qui ait beaucoup envie de passer la nuit avec moi et qui puisse me le prouver. Comment ? Je n’en sais fichtrement rien pour le moment. Je veux juste être fortement désirée avant de me donner.

Au moment de rentrer, il y a une séquence de slows et je me trouve par hasard face à un élégant monsieur d’un certain âge, la cinquantaine environ, mince mais apparemment très athlétique, qui m’invite à danser. Il est grand, avenant et je le trouve très séduisant. Sans réfléchir, j’accepte. J’ai encore le droit à ses confidences. C’est incroyable comment les hommes espèrent attendrir les femmes en leur parlant de leurs problèmes les plus intimes. Cette fois, c’est un patron d’usine en déplacement dans la région qui avait amené avec lui sa jeune maîtresse, mais la demoiselle lui a dit qu’elle ne voulait pas sortir. Ils ne se sont pas fâchés, mais comme aucun d’eux n’a voulu céder, il est sorti seul en espérant trouver plus de compréhension à son retour. Drôle de situation. Je continue à m’amuser. J’ai soudainement envie de jouer avec lui. Je me colle en dansant. Je sens sa réaction de même qui s’appuie sur mon ventre. Il m’embrasse. Je me laisse faire. Il a l’air de ne pas savoir que faire. Ses mains glissent sur mes fesses. Je sens son désir qui grimpe encore. Il me demande si je veux rester dans le dancing ou aller ailleurs. Je lui dis que je ne sais pas où aller, mais s’il veut que je l’aide à se réconcilier avec son amie, je peux essayer de la convaincre. Je ne sais pas pourquoi j’ai dit cela sans doute pour continuer à m’amuser. Il est surpris et me regarde d’un air interrogateur. Je lui suggère d’appeler sa copine et de lui dire de sauter un taxi et de venir nous rejoindre. Il me répond qu’elle a déjà refusé. Je lui rétorque alors de lui dire qu’il a trouvé une amie et qu’il aimerait bien la lui présenter. La séquence de slow se termine. Je vais m’asseoir dans une petite alcôve libre.

Mon premier cavalier revient à la charge et je discute avec lui, en le laissant prendre ma main. Assez vulgairement, il me propose de passer la nuit avec lui à l’hôtel. Je refuse assez sèchement cette proposition sans imagination et je repars danser sur la piste, bientôt rejoint par mon second cavalier, le jeune musicien amateur. J’ai beaucoup envie de m’amuser, alors je me dis que je vais prendre un petit hors-d’œuvre en lui proposant de ressortir. Dans la cour, il y a un petit banc dans un coin non éclairé et je me dirige vers cet endroit. À sa grande surprise, je lui demande s’il a un préservatif et comme il me répond affirmativement, je pose mes mains sur le banc, relève ma jupe et lui dis de me prendre en écartant mon slip. Je sens son sexe encapuchonné qui me pénètre et il commence à me besogner. J’apprécie car je commence à être bien excitée et je l’encourage à me labourer plus vite et plus fort. J’ai un orgasme assez fort. À ce régime, il ne tarde pas à décharger et je le laisse se rajuster en entrant me refaire une beauté aux toilettes du dancing. J’aime bien surprendre et montrer aux hommes que je me donne si je veux et quand je veux.

Pour bien me montrer à moi-même que la soirée ne fait que commencer, je repars sur la piste me trémousser. C’est là que je vois arriver mon troisième cavalier, la mine réjouie, qui m’annonce que je suis une bonne psychologue car sa jeune maîtresse a décidé de venir le rejoindre dès qu’elle a su qu’il était en bonne compagnie. Cette réaction ne m’étonne pas. Elle prend un taxi et sera là dans moins d’une demi-heure. Je m’amuse comme une folle. Nous dansons tous les deux et effectivement nous sommes bientôt rejoints par la belle demoiselle qui est effectivement splendide. C’est une grande blonde, mignonne de visage, d’environ 25 ans et bien gaulée comme disent les hommes. Il a très bon goût le monsieur. Elle porte une jupe en lainage rose avec veste assortie, des bas blancs et des chaussures de style Louboutin. Sous sa veste, un sweat en élégant dégradé de rose met bien en valeur une poitrine qui doit avoisiner les 90. Elle lui fait la bise et me regarde, d’abord avec un peu de méfiance. Je réagis en lui faisant la bise comme si je la connaissais depuis longtemps.

Le disc-jockey a lancé une longue série de rocks endiablés. Elle est à l’aise et danse diablement bien la jeune fille mais semble me mettre au défi. Elle dirige la danse et me fait tourner. Elle m’évalue et je m’applique. Finalement, elle semble satisfaite de me voir tourner en tenant le rythme et me lâche un gentil sourire. La glace semble brisée mais elle me dirige toujours fermement même si je sens que la pression de sa main sur ma taille devient moins martiale et plus caressante. Petit à petit, nous faisons le spectacle devant un petit cercle d’amateurs.

Les encouragements de nos admirateurs nous incitent à nous dépenser et nous apprenons rapidement à nous connaître dans les différents mouvements de la danse. Nos corps se frôlent et je sens la souplesse de ses hanches. La soirée passe tellement vite que nous sommes surprises par l’annonce de la fermeture du dancing. Le compagnon de la demoiselle qui se tenait parmi les admirateurs nous accompagne vers la sortie et me propose de passer prendre une coupe de champagne à leur hôtel. Elle insiste fortement et au moment où je m’apprête à suivre leur véhicule, elle déclare à son compagnon qu’elle veut faire le court trajet dans la voiture de sa « nouvelle copine » plutôt qu’avec lui. Nous suivons la voiture de son compagnon et elle parvient pendant ce court trajet à me résumer sa situation. Le monsieur, très riche, dirige un groupe d’entreprises et est en instance de divorce. Elle est secrétaire de direction, chargée de la coordination entre les différentes entreprises du groupe, ce qui lui permet de suivre son patron dans tous ses déplacements.

Curieuse, elle me demande comment il s’y est pris pour me draguer. Nous nous arrêtons sur le parking de l’hôtel. Le monsieur monte en nous faisant signe de le suivre, mais elle continue à me questionner. Quand je lui apprends que c’est moi qui lui ai suggéré de l’appeler pour venir me rejoindre, elle semble ébahie, puis me remercie et sans que je m’y attende, elle m’embrasse sur la bouche. Elle s’excuse en me disant qu’elle ne sait pas comment me remercier car elle passait la soirée dans la crainte qu’il ne trouve une autre partenaire. Elle s’excuse de son geste en me demandant si j’avais déjà eu des aventures féminines.

Je lui réponds qu’à l’époque où j’étais étudiante, j’ai vécu en colocation avec une amie assez portée sur la chose et qu’en l’absence de copains, il nous arrivait de temps en temps de dormir ensemble et de compenser l’absence du genre masculin. Elle me dit que depuis qu’elle fréquente son compagnon, il leur arrive parfois de fréquenter des boîtes échangistes et que c’est là qu’elle a commencé à aimer les plaisirs saphiques sous les regards de son amant. Elle recommence à me rouler un patin, et je lui fais remarquer que son ami va attendre. Elle rit et dit que ça va lui faire du bien d’attendre un peu, ça compensera la peur qu’elle a eue en pensant qu’il avait trouvé une nouvelle compagne.

Finalement, nous prenons l’ascenseur pour le trouver prêt à servir le champagne dans les trois coupes préparées dans le petit salon de la grande suite qu’ils occupent, lumières tamisées soigneusement allumées. Il est assis dans un fauteuil et nous prenons place dans le canapé quand il lance la soirée en levant un toast à nos amours. Sa compagne lance alors sur son smartphone une séquence de musique douce préenregistrée et elle m’invite à danser. Pas un rock, mais une danse d’amoureuse, ajoute-t-elle en m’enlaçant. Il ne lui faut que quelques minutes de slow pour me rouler un pulpeux patin auquel je réponds. Nos langues s’accrochent, nos mains palpent nos formes. Je sens mes seins qui pressent les siens et elle prend prétexte de la chaleur de la pièce pour faire passer son sweat par-dessus sa tête et se débarrasser de sa jupe. Je fais de même et nous devons offrir un magnifique tableau de lingeries, elle en soutien-gorge pigeonnant et en tanga blancs avec ses dim-up également blancs, et moi, toute en dentelle noire, avec mes bas accrochés sur les porte-jarretelles bien tendus. Mon dernier souvenir lucide est de voir le monsieur sortir son sexe de sa braguette en observant nos mains partir à la découverte des parties secrètes de nos corps et je me laisse aller au plaisir. J’imagine qu’il doit apprécier de voir les deux femmes de sa soirée se déshabillant et apparaissant en sous-vêtements noirs et blancs. Nos langues se caressent et je sens une des mains de ma partenaire qui, après avoir doucement caressé mes fesses, s’introduit par-derrière dans le slip et vient caresser le sillon anal d’abord, puis le vagin humide assez rapidement, en donnant des petits coups de doigt sur le clito. Elle est douce et me fait plein de compliments à l’oreille. Je suis bien et je me laisse aller à une douce euphorie. La musique, la lumière, le champagne, je m’abandonne à ses caresses et j’introduis aussi ma main dans son slip, mais par devant, pour introduire deux doigts en elle. Comme moi, sa chatte déborde de cyprine. Je sens par derrière son doigt qui me fouille, qui coulisse d’abord entre mes fesses en caressant mon petit anus, puis qui remonte et viens recueillir du liquide dans mon vagin pour venir en fin de course doucement titiller mon clito comme seule une femme sait le faire. Sa langue s’active dans ma bouche et joue avec la mienne. Le mouvement de son doigt recommence son lent chemin, parfois s’attardant sur le clito jusqu’à m’amener à un petit orgasme. Je la serre alors plus fort et elle me laisse alors récupérer en ramenant son index à l’entrée de mon petit trou, l’assouplissant pas des légers mouvements circulaires. Elle est experte et c’est délicieux. Je ne vois pas le temps passer et j’essaye de lui rendre ses caresses, sans être certaine d’y parvenir aussi bien qu’elle. Finalement, je sens qu’elle me fait quitter le petit salon de la suite et m’entraîne vers la chambre, vers un grand lit de taille King Size, sur lequel nous nous retrouvons en position de 69, moi dessous et elle dessus, après avoir enlevé nos petites culottes. Sa langue prend alors le relais de ses doigts et ce n’est pas moins agréable.

Je ne sais pas combien de temps nous sommes restées à nous gouiner tendrement sur le lit, mais je crois avoir battu mon record du plus long cunnilingus. C’est elle qui décide de faire une pause champagne et quand nous revenons sur le lit, elle demande à son compagnon de s’allonger sur le dos, de mettre une capote et me propose de m’empaler sur lui, ce que je fais avec plaisir. Ironiquement, elle me dit que ce n’est qu’un prêt et qu’elle se rattrapera par la suite. Je sens le long sexe s’introduire dans ma chatte et je me trémousse aussi bien que je peux. Il m’aide par de vigoureux coups de bassin et bientôt je sens le doigt de la demoiselle qui vient pénétrer mon anus, profondément, en accompagnant les mouvements de bite de son ami. C’est le bouquet final et ils me font jouir intensément.

Quand j’ai raconté cette aventure à mon mari, il était émoustillé comme il l’avait rarement été. C’est à partir de cette époque qu’il commença à me faire venir passer quelques week-ends prolongés à Londres, quand il était libre, mais pour me faire rencontrer quelques-unes de ses anciennes conquêtes avec lesquelles il était resté en très bon terme. Mais tout ceci est une autre histoire que je raconterai peut-être une autre fois.

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Author: Rev. Porsche Oberbrunner

Last Updated: 15/05/2023

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