Résumé de l’épisode précédent:
Abandonnée par son mari pendant ses vacances, une femme décide de profiter des joies du camping.
Jour 3 (lundi)
J’y avais déjà songé hier, mais ce matin je me motive, car j’en ai marre de cette petite douche… je vais aller jusqu’aux sanitaires du camping. En passant hier, j’ai vu que ça avait l’air propre et que les douches étaient spacieuses. Ce sera bien plus pratique, surtout que j’aimerais bien passer un petit coup de rasoir partout où c’est nécessaire.
Arrivant devant les cabines, je vois qu’une seule est libre et jette mon dévolu dessus. Un grand blond, probablement un Allemand ou un Hollandais, a visiblement le même objectif que moi. Dans une langue que je ne comprends pas, il me fait signe qu’il me laisse sa place. Je refuse, il était là avant moi. En insistant un peu, il accepte et entre dans la cabine. Prise d’une envie folle, je le suis dans la douche et avant qu’il ne réalise ce qu’il se passe, j’ai le temps de verrouiller la porte, de me mettre à genoux devant lui, de baisser son short et de placer mes mains sur son sexe.
Mon grand blond se laisse faire et semble apprécier vu que son sexe est déjà bien dur. Il est de taille moyenne, ce qui me permet de lui faire une fellation digne de ce nom. Quand il me fait comprendre qu’il va venir, je baisse les bretelles de mon débardeur pour le faire jouir sur mes seins. Le premier jet me surprend et finit dans mes cheveux; moins violents, les suivants se déversent sur ma poitrine. Ça devait faire un moment qu’il n’avait pas joui, car la quantité de sperme est énorme. Ravie de ma folie, je remets mes bretelles, sors de la cabine et entre dans une autre douche.
Mon reflet dans le miroir me fait sourire, j’ai une magnifique trace de sperme sur le front et les cheveux. J’enlève mon débardeur pour constater le reste des dégâts. Il m’a inondé, une partie recouvre mes seins et le reste a coulé jusqu’à mon nombril.
Je profite du confort de la douche pour nettoyer tout ça, raser tous les petits poils disgracieux, et me refaire une beauté.
Je retourne au mobil-home en espérant ne pas croiser le grand blond…
Je commence à avoir mes habitudes: le midi, repas léger, puis lecture ou sieste sur la terrasse.
En maillot de bain, enduite de crème solaire, je m’installe sur mon transat préféré avec mon livre.
Visiblement, mes voisins ont également des habitudes, car j’entends la voisine minauder:
- — Tu viens à la sieste, mon amour?
- — J’arrive, j’arrive.
Il faudra que je trouve le moyen pour les croiser pour voir à quoi ils ressemblent.
- — Encore toute nue?
- — Tu le sais que j’adore les siestes crapuleuses, et je crois qu’en plus j’ai les hormones en ébullition.
- — De quelle manière madame souhaite-t-elle calmer ses hormones?
- — Comme hier, d’abord avec ta bouche.
Et comme hier, je finis par entendre madame jouir.
- — Pour satisfaire son homme, madame accepterait-elle de se mettre à quatre pattes?
- — Bien sûr, mais vas-y doucement… le lit n’a pas l’air solide.
Quelques secondes plus tard, ça gémit, ça grince, ça claque, ça supplie de continuer plus fort… les deux finissent par jouir quasiment ensemble.
Ils ont l’air de bien s’accorder au lit, madame a quand même beaucoup de chance: deux jours, deux petites siestes, quatre orgasmes.
Entre ma petite folie de ce matin et mes espionnages coquins, je commence à être bien excitée, tout en espérant pouvoir faire une rencontre à la soirée de ce soir, je m’endors tranquillement.
Un petit tour à la piscine, un petit apéro, un petit repas et direction la soirée.
Visiblement, il s’agit d’une pièce de théâtre comique. Moi qui espérais danser et rencontrer du monde, c’est encore raté. Je m’installe au fond et regarde le vaudeville classique: le mari, la femme et la jeune maîtresse.
Ce n’est pas très bien joué et pas vraiment drôle. Je suis plus intéressée par la discussion des deux jeunes assis devant moi qui déclinent les différences qu’il peut y avoir à coucher avec une fille de leur âge (une vingtaine d’années), ou avec une d’une quarantaine d’années telle celle qui joue le rôle de l’épouse trompée.
Visiblement, le blond préfère une jeune parce que c’est plus fun, qu’il est plus attiré par un corps ferme, et surtout qu’il peut lui faire découvrir plein de nouvelles choses.
Le brun est d’accord, mais aimerait bien essayer une vieille. D’après lui, les plus âgées doivent connaître plein de choses et devraient être super excitées de coucher avec un jeune de 20 ans… «C’est trop bon de voir une fille prendre son pied».
Le blond semble convaincu:
- — Oui, tu as raison, ça doit pouvoir être sympa et l’on a toute la vie pour coucher avec des filles de notre âge.
Sautant sur l’occasion, je les interpelle:
- — Excusez-moi, j’ai entendu votre conversation et je peux vous dire que vous avez tout à fait raison, sauf pour un point.
Étonnés par mon intrusion, ils ne savent pas quoi répondre.
- — Pour savoir sur quel point vous avez tort, il faudra accepter que je vous offre un verre à mon mobil-home.
Ils acceptent et me suivent. Pour ne pas laisser un silence s’installer le temps du trajet, j’engage la conversation.
- — C’était pas top leur pièce de théâtre.
- — C’est clair!
- — Visiblement, vous étiez plus intéressés par les actrices.
- — Si elles sont sur scène, c’est pour qu’on les regarde.
- — Et pour développer des théories sur les relations homme/femme…
- — Oui, c’était bien parti, on a un peu dérivé, mais on ne pensait pas être écoutés… Sur quel point a-t-on tort?
- — C’est simple, on ne doit pas appeler une femme d’une quarantaine d’années une vieille.
- — Oups…
- — Installez-vous sur la terrasse, j’arrive.
Alors qu’ils pensent que je vais revenir avec des boissons, je les interpelle en restant à la porte du mobil-home pour ne pas être vue par tout le monde vêtue d’une petite nuisette et d’une culotte en dentelle.
- — Alors, toujours envie de tester une vieille?
Ils me suivent dans la chambre, je m’assois en bout de lit et les installe debout devant moi. Voulant voir à qui j’ai affaire, je leur baisse short et caleçon. Les deux bandent déjà. Une queue dans chaque main, je suis aux anges. Leurs sexes sont quasiment de la même taille, mais celui du brun est courbé. Ça m’amuse et je commence par sucer celui-là.
Je joue avec les deux bites en alternant les caresses avec mes mains et ma bouche.
Le blond est plus entreprenant et m’enlève ma nuisette pour caresser mes seins. Il me bascule et m’allonge sur le dos.
- — Qui aura le plaisir de faire glisser ma culotte?
Le blond saute dessus, me la retire rapidement et la jette dans un coin de la pièce après l’avoir reniflée. Attirée par ce qu’il a découvert, il se met entre mes cuisses pour me bouffer littéralement la chatte, cela me chatouille plus que ça ne m’excite. Le brun est plus doux, il s’occupe de mes seins et m’excite les tétons.
J’attrape un préservatif dans ma table de nuit et le tends au blond.
- — Mets ceci pour passer aux choses sérieuses.
Bien protégé, il me pénètre sans ménagement. Il a encore beaucoup de choses à apprendre, mais la situation m’excite quand même et je l’accompagne dans ses gémissements. Il jouit rapidement.
Le brun avait anticipé et mis une capote. Il prend aussitôt la place de son pote.
Je sens tout de suite qu’il sait mieux y faire et la courbure de sa bite lui permet de titiller des zones qui m’excitent. Il alterne les coups lents, rapides et bien profonds, puis il finit par me faire jouir en jouissant également.
On s’allonge sur le lit, moi au milieu, bien sûr. Pour être un peu moins serrée, je me mets sur le côté vers le blond. Ma main est attirée par son sexe qui, privilège de la jeunesse, est de nouveau bien dur. Le brun, remis également de son premier orgasme, se colle contre mon dos, plaçant bien son sexe entre mes fesses.
- — C’est plutôt sympa cette position, mais vous n’aurez pas accès à mon cul.
- — Mince, vu que l’on est deux, cela aurait été pratique… chacun son entrée…
- — Même pas en rêve! Par contre, si ça vous tente d’essayer à deux dans la même entrée, ça doit pouvoir aussi se faire dans cette position.
La distribution de préservatifs faite, le brun reste derrière moi et commence à me pénétrer en cuillère: ça glisse tout seul. Le blond, face à moi, place son sexe près du mien, je soulève une jambe pour lui faciliter l’accès et il réussit à venir en moi. Ce n’est pas super confortable, mais ça me plaît. Le blond ne peut pas trop bouger sous peine de se retrouver expulsé, mais ne se prive pas de me peloter les seins. Le brun mieux positionné entame les va-et-vient.
Cela n’a pas l’air de les déranger d’avoir leur sexe l’un contre l’autre. Suite à un mouvement un peu plus violent, celui du blond ressort. La position étant inconfortable pour lui, il préfère le présenter devant ma bouche. Je le prends, ça fait très longtemps que je n’avais pas sucé avec un préservatif. Bien décidée à le faire jouir avec ma bouche, je le lui retire pour le pomper et le laisser jouir sur mon visage. Pendant ce temps, bien endurant, le brun continue de me prendre, de me claquer les fesses et réussit une fois de plus à me faire jouir. Pour ne pas faire de jaloux, je lui retire sa capote et le pompe pour qu’il jouisse aussi sur mon visage.
Après cette bonne partie de jambe en l’air, tout le monde est bien rassasié et chacun se rhabille.
- — Voilà mes petits, maintenant, vous savez ce que vaut une vieille au lit, ça vous fera un point de comparaison.
- — On ne sait pas trop ce qu’il faut dire, mais c’était top! Je pense que l’on s’en souviendra toute notre vie.
- — Il n’y a rien à dire, si ce n’est qu’il faudrait me laisser maintenant pour que j’aille à la douche.
Je ne les raccompagne même pas, je suis trop épuisée et pas présentable avec du sperme plein le visage.
Je reste ainsi allongée, constate que j’ai mal aux cuisses et un peu partout. Demain, il faudrait que j’aille me faire papouiller au spa pour me remettre en forme.
Je finis par réussir à me traîner à la douche et suis obligée de mettre des draps propres pour pouvoir me coucher.
Jour 4 (mardi)
Ce matin, comme prévu, direction le spa! On me propose un soin de deux heures avec un long gommage puis un petit massage. Cela me convient. Installée sur le ventre, en culotte, on m’enduit d’un gommage chauffant qu’il faut laisser agir 45 minutes. Cool, c’est agréable et je vais pouvoir me reposer. À côté, séparées par un paravent, s’installent visiblement pour le même soin que moi deux copines. Elles ne se doutent pas que je suis à côté et discutent:
- — Alors, ça a l’air de bien marcher avec Mickaël.
- — Oui, on passe de très bonnes vacances grâce à vous, c’était vraiment sympa de nous inviter.
- — Ça nous fait plaisir, et visiblement, toi aussi tu prends du plaisir…
- — Tu dis ça pour hier soir?
- — Oui, on a entendu comme des gémissements, non?
- — Désolé, d’habitude, j’arrive à être discrète, mais là, c’était trop bon!
- — T’inquiète ! tu as raison d’en profiter, on sait ce que c’est, les débuts. Mais par contre, tu dois me raconter.
- — Comme tous les soirs, il m’a prise. Hier soir, il m’avait bien chauffée, j’étais empalée sur lui et il y a eu ce petit truc en plus qui m’a fait prendre un pied terrible.
- — Humm, tu me fais envie…
Une personne arrivant pour me faire prendre une douche et enlever le gommage interrompt leur conversation. Les deux filles pouffent de rire réalisant qu’elles n’étaient pas seules.
Le soin se poursuit avec un autre gommage et se termine par un massage relaxant.
Au moment de partir, deux filles, proprement mes voisines de soin, viennent de payer et aussi me tiennent la porte. Je leur glisse discrètement un:
- — Merci, et profitez-en bien avec Mickaël.
Elles rient…
Retour au mobil-home et à mes habitudes, repas et espionnage de la sieste crapuleuse de mes voisins dont je ne connais toujours pas le visage.
Pour une fois, je suis en position, en maillot de bain sur mon transat avec mon livre avant que madame ne soit au lit. Le petit n’est pas encore couché. Dépêchez-vous, j’ai besoin de mon petit espionnage quotidien et je sais que madame a besoin de son petit coup à la sieste.
- — Dépêche-toi, mon amour, c’est l’heure de la sieste.
Pour une fois, c’est madame qui couche le petit et monsieur qui la supplie de venir.
- — Range ton sourire, je sais que tu as fait comme moi, que tu es à poil et que tu veux que je me rattrape.
- — C’est mon droit, tu as quand même eu beaucoup plus d’orgasmes que moi.
- — Si je comprends bien, je ne vais pas pouvoir échapper à ton péché mignon.
- — Tu devines très bien, je suis prêt, tu n’as plus qu’à utiliser ta langue.
Bruit de succion, gémissements et orgasme masculin.
- — Humm, madame avait faim.
- — Je te devais bien ça, même si je ne comprends toujours pas pourquoi ça plaît tant aux hommes quand une fille avale leur sperme.
- — Parce que… je sais pas, mais c’est bon. La bonne nouvelle, c’est que tu vas devoir y retourner si tu veux prendre ton pied.
- — OK, mais je me mets sur toi et tu me lèches en même temps.
Sans autre dialogue, je n’ai pas eu le détail de leur position après leur 69, mais aux gémissements, je sais que les deux ont joui.
Après la sieste, comme d’habitude, direction la piscine.
Je profite du fait qu’il y a peu de monde pour squatter une place dans un jacuzzi, et me souviens de la fois où, avec mon mari, nous avions exploité le fait que les bulles cachaient nos mains pour nous tripoter discrètement au milieu de tout le monde.
Trois personnes me rejoignent: une femme, deux hommes. Le premier aide ce qui doit être son épouse à prendre place et le deuxième se place sur ma gauche. Vu la ressemblance, il doit s’agir de deux frères. Imaginant que mon voisin, qui est plutôt mignon, doit être contraint de tenir la chandelle, je suis prête à jouer pour le distraire.
Innocemment, pendant qu’ils discutent, je glisse mon pied vers lui et le retire dès que je le touche. Pas de réaction. Profitant du fait que tout ce qui se passe sous l’eau soit caché par les bulles, je recommence en appuyant un peu plus le contact. Il me sourit et approche son pied pour venir trouver le mien. J’approche au maximum mes jambes sans bouger de ma place, nos cuisses se touchent. Le contact de sa main sur ma jambe m’électrise, lui continue de discuter comme si de rien n’était. Sa main remonte le long de ma jambe, puis de ma cuisse, et se pose sur mon sexe. Je ne pensais pas qu’il irait jusque-là, j’ai honte de me laisser tripoter par un inconnu en public, mais cela m’excite d’autant plus.
Il me caresse par-dessus le tissu du maillot de bain qu’il finit par écarter pour titiller mon petit bouton. C’est bon d’être offerte ainsi. Il glisse un doigt en moi, mais la position ne lui permet pas d’aller bien profond, alors il préfère concentrer ses efforts sur mon clitoris.
Leur conversation est arrêtée par la venue d’une femme.
- — Vous auriez dû me dire que vous veniez ici, j’ai dû faire deux fois le tour de la piscine pour vous trouver, dit-elle en s’installant de l’autre côté de mon voisin aux mains baladeuses.
- — Et qu’as-tu fait des enfants, mon amour?
J’y crois pas, mon voisin est en train de discuter avec sa femme, mère de leurs enfants, alors qu’il a ses doigts sur mon sexe!
- — Ils sont partis faire du toboggan et aimeraient bien que tu ailles avec eux.
- — OK, j’y vais, dit-il en retirant ses doigts.
Je ne sais pas quoi penser du clin d’œil qu’il me fait en partant.
Ne sachant si je dois être choquée ou excitée, j’attends qu’il parte et quitte aussi le jacuzzi pour aller bronzer sur un transat.
De retour au mobil-home, je poursuis mes habitudes en prenant un petit apéro suivi d'un repas léger, puis, ayant aperçu des affiches annonçant une soirée dansante, bien décidée à me défouler et plus si affinités, je me prépare: une petite douche, un maquillage léger et une petite robe noire.
Direction la soirée, il y a déjà beaucoup de monde, je m’installe à une table et commande un verre. L’ambiance est très sympa, il y a beaucoup de familles et la playlist est variée.
Un homme, probablement de mon âge, m’invite à danser sur un des derniers titres à la mode, j’accepte. Les musiques s’enchaînent et il continue de m’accompagner. On se lâche de plus en plus, surtout quand arrivent les musiques des années 80. Épuisés, on retourne à ma table et l’on discute autour du verre qu’il m’offre.
Il a 43 ans et est en vacances avec trois autres personnes, un couple et un ami. Ils n’ont pas voulu venir danser, alors il est ravi que j’aie accepté son invitation. À partir du moment où je sais qu’il est célibataire, je me doute que je vais me le taper. Je lui indique que je suis seule sans lui expliquer ma situation.
La soirée se poursuit: on danse beaucoup, on discute un peu, on se pelote un peu pendant les slows et l’on termine, pour un dernier verre, sur la terrasse de mon mobil-home.
Je l’invite dans ma chambre, il me propose un massage. Il dézippe ma robe et la fait glisser à mes pieds. Je m’allonge en soutif et culotte noire en dentelle sur le ventre. Il s’installe à mes côtés et pose ses mains sur mes épaules… elles sont douces, grandes et puissantes et parcourent mon cou, mon dos et mes reins. C’est terriblement agréable après avoir passé la soirée à danser. Il dégrafe mon soutif pour ne pas être gêné et poursuit en massant une de mes jambes, puis l’autre, avant de remonter vers mes cuisses pour les masser longuement. J’écarte un peu les jambes pour qu’il monte plus haut. Il comprend le message et poursuit ses caresses jusqu’à la limite de ma culotte. Je pense qu’il doit sentir la chaleur qui s’en dégage. Il continue en plaçant ses deux mains sur mes fesses et me caresse à travers le tissu.
Contente de ces préliminaires, je mets sur le côté et lui dis:
- — Merci, c’était très agréable. Je ne te ferai pas la même chose, car je n’ai pas le même talent, mais j’ai plein d’autres ressources.
Je m’approche de lui et l’embrasse sauvagement. Il ôte son tee-shirt et s’allonge, j’en profite pour caresser son torse et continuer à l’embrasser. Je réalise que dans toutes mes aventures de la semaine, c’est la première fois que j’embrasse mon amant. Mes mains descendent sur son sexe, je le caresse puis fais glisser son short pour le prendre en bouche. Me plaçant sur lui, je me frotte sur son membre bien dur, puis, plaçant mes genoux de chaque côté de sa tête, je l’invite à me lécher. D’abord à travers ma culotte, puis directement sur mes petites lèvres quand il l’écarte.
Il est doué, je suis trempée. Bien chaude, j’attrape une capote, la lui installe et m’empale sur son membre. J’apprécie de plus en plus cette position, en choisissant le rythme de la pénétration, j’ai l’impression de le dominer. Ses grandes mains accompagnent nos mouvements en caressant mes reins et mes fesses. C’est bon! Je ralentis pour faire durer le plaisir. Ses mains passent sur mes seins, il semble les apprécier. Je reprends les mouvements en coulissant sur toute la longueur de sa généreuse bite, et dans un dernier gémissement, nous jouissons de concert.
Épuisés, nous restons enlacés un moment. Je lui propose une douche, mais seul, vu la taille de la cabine. Une fois tous deux rassasiés et propres, je lui propose de dormir ici… il accepte. C’est donc collée au corps d’un homme que je ne connais qu’à peine que je m’endors.